La série B d'horreur d'Alexandre Aja fait aussi la part belle aux plus voluptueuses stars anglo-saxones.
En 2010, le réalisateur français Alexandre Aja, fils d'Alexandre Arcady, nous proposait le très efficace Piranha 3D, petit film d'horreur sans grande ambition ni prétention mais bourré de sang, de sexe et d'hommages au cinéma qui a nourri le neo-cinéaste durant ses jeunes années.
Le Petit Cochon : Les meilleures scènes de sexe de 2015
Outre des clins d'oeil appuyés aux Dents de la Mer - du sujet en passant par le décor et la mise en scène (le fameux trans-trav de Spielberg reproduit ici) -, Alexandre Aja a mis dans son film tout ce qui a fait sa culture. Ainsi, on retrouve notamment beaucoup de références à travers le casting : de Elisabeth Shue (la star de Karate Kid et Retour vers le Futur), en passant par Richard Dreyfuss (acteur fétiche de Spielberg vu notamment dans Les Dents de la Mer et Rencontre du Troisième Type), Christopher Lloyd (le Doc de Retour vers le Futur), et même Ving Rhames (le Marcellus Wallace de Pulp Fiction).
Mais, en adorateur du cinéma de genre, Alexandre a également mis beaucoup de gore (membres amputés, déchiquetés et bouffés) et naturellement, beauoup de sexe. Et quoi de mieux que des stars du porno pour s'exhiber devant une caméra ? Rien, on vous l'accorde.
Le Petit Cochon : Diane Kruger en déesse grecque et dévêtue dans Troie
C'est donc un véritable festival de bombes yankees et britanniques qui se mettent à nu devant la caméra, et l'on peut reconnaître notamment les très généreuses pornostars Riley Steele, Gianna Michaels, ou Ashlynn Brooke, pour ne citer que les moins farouches du X américain qui sont venues piger devant la caméra-voyeuse du réalisateur frenchy.
Le Petit Cochon : Nora Arnezeder, Angélique sensuelle et charnelle
Parmi cette multitude de formes appétissantes, l'actrice/bimbo britannique Kelly Brook - qui s'octroie ici le plus grand rôle de sa carrière - donne de sa personne et s'offre notamment une petite plongée en tenue d'Eve avec la non moins ravissante Riley Steele, pour une scène surréaliste de poésie tendre au milieu de cette explosion de violence gratuite et d'hémoglobine.
Une petite série B sans prétention aussi plaisante qu'un Spring Break arrosé et dénudé.
Commentaires