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Si Gunn connaît ses classiques et leur rend ici un vibrant hommage (la saga Star Wars initiale nous vient souvent à l’esprit), d’autres références moins évidentes affleurent au fil du film (la scène de l’évasion du pénitencier interstellaire évoque Star Crash de Luigi Cozzi), tandis que le cinéaste affirme fièrement ses origines en laissant apparaître quelques secondes son ancien employeur Lloyd Kaufman, légendaire patron de Troma Films.
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Personnages déjantés (...), péripéties ébouriffantes, très jolies idées visuelles (à déguster en 3D) et, surtout, humour omniprésent, font de ce blockbuster estival un divertissement hyper fun et malin,
pour grands et petits résidents de la galaxie -
Sans tête d’affiche et en s’appuyant sur un comic book que pas grande monde ne connaît, Marvel livre l’un des meilleurs opus de sa filmographie. Forcément, "Les gardiens de la galaxie" est un film à part dans le MCU. Par son ton, sa gaîté, et même sa dimension cinéphile. Pourtant tous les codes Marvel sont respectés. On peut aisément relier le film à la phase 3 du MCU, car on est en terrain balisé et familier. Et si l’on s’amuse à lister les « easter eggs » on réalise que c’est peut-être même l’un des longs-métrages de la marque le plus pointu et le plus nerd. Comme quoi, on peut faire partie d’un système bien huilé et essayer d’en être le trublion : c’est la méthode James Gunn pour livrer le meilleur film Marvel à ce jour.
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Ils sont cinq, plutôt bizarres et vraiment sympas. Réunis malgré eux pour sauver le monde, ils adorent ça, et nous aussi ! (...) De l'action, de l'humour et de l'émotion intergalactiques
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Dans cette galaxie de rebondissements et d'effets spéciaux, l'oxygène manque parfois. Il aurait fallu aménager plus d'espaces verts, plus de décors naturels pour éviter la sensation d'écrasement numérique. Le salut vient heureusement d'une bande-son aérienne : le film surfe sur plusieurs tubes des années 1970, intégrés dans la trame narrative, et y puise des séquences fabuleuses. On se souviendra longtemps de la scène d'ouverture, avec l'air de "Come and Get Your Love" de Redbone résonnant sur une planète apocalyptique. Un chef-d'oeuvre de mise en ambiance.
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Les "Gardiens de la galaxie : ironique, drôle et visuellement séduisant. (...) Avec un scénario d'une simplicité désarmante - des méchants menacent de détruire une planète -, le film trouve rapidement son rythme. Souvent ironique (on s'y bat sur fond de tubes des années 1970), drôle et visuellement séduisant, "Les Gardiens de la galaxie" revient à l'humour des blockbusters des années 1980, de Star Wars aux Goonies.
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Avec "Les gardiens de la galaxie", Marvel ose le film de super-héros décalé. Pari réussi avec cette histoire spectaculaire bourrée d’humour et de musique des années 70. De la SF haut de gamme mais totalement déjantée qui devrait réconcilier tous ceux que les "Avengers" et consorts laissent de marbre. Alors sans hésitation, laissez vous embarquer pour ce réjouissant voyage intergalactique.
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Un vent de fraîcheur et de modernité plane sur le dernier-né de Marvel(...) James Gunn s’en empare avec une évidente délectation et signe un film de science-fiction complètement barré, irrévérencieux, un peu bordélique mais à l’énergie communicative. Les personnages originaux, l’humour caustique et la bande-son revigorante font oublier quelques longueurs
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Surprise : ce film des studios Marvel est une vraie comédie familiale. Avec des effets spéciaux et des scènes d'actions spectaculaires en prime.
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Raton laveur de l’espace, arbre humanoïde et héros un peu branques… la nouvelle production de Marvel est un film de commando plutôt inventif. Plus qu’aux autres films de super-héros, "Les Gardiens de la galaxie" emprunte aux "Douze Salopards" ou au "Club des cinq". Comme tout film de commando qui se respecte, l’ensemble repose avant tout sur la constitution du groupe et sur la dynamique que ses différents éléments sont capables d’insuffler. (...) James Gunn s’en sort étonnamment bien, notamment parce qu’il a obtenu d’être chargé de l’écriture. Si le scénario n’échappe pas au côté «chaîne alimentaire» (le héros doit échapper au méchant du jour, mais un plus gros prédateur se cache derrière les buissons), le ton suffit à rendre le film éminemment sympathique et à le distinguer de la masse des blockbusters estivaux.
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Une équipée de héros appelés "Les gardiens de la galaxie" doit sauver l'univers : jusque-là, rien de nouveau chez Marvel. Sauf que le studio, laissant les coudées franches à J.Gunn, a accouché d'un film de super-héros décalé et parfaitement divertissant.
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Avec ce film de science-fiction grand public et délirant, qui ne se prend jamais au sérieux, Marvel décroche les étoiles ! Sorte de croisement entre "La Guerre des étoiles" et "Avengers", ce space opera déjanté met en scène des personnages drôles et attachants et offre des séquences d’action mouvementées, comme l’évasion d’une prison spatiale de haute sécurité. Les effets spéciaux sont soignés, la bande-son, constituée de très cools hits seventies
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Comme son titre l'indique, on navigue ici de planètes en constellations, dans un espace-temps dont la connexion avec notre « ici et maintenant » est pour le moins ténue. "Les Gardiens de la galaxie" est un space opera, un moderne cousin de "La Guerre des étoiles", moins innovateur que le fut en son temps le film de George Lucas, mais tellement plus drôle.
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Un blockbuster de superhéros nostalgique et ultradrôle, dont les stars sont la bande-son et un Walkman. Pour le coup, James Gunn (réalisateur de la satire de superhéros Super) se fait entendre. Par là où on l’attendait, soit l’humour pétaradant et en rafale, un poil trop peut-être. Il parvient aussi à donner proximité et corps à son monde SF, bestiaire vivant et vraie palette pop bigarrée agréable à l’œil. La surprise du film réside dans ses pépites d’émotion, hors de son intrigue télégraphiée et convenue sur la rédemption de crapules.
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L'humour est là et les personnages existent. Hélas, tout est laborieux: la mise en place des aventuriers du futur, le développement de l'intrigue, jusqu'à sa résolution, explosive.
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Un attrape-geek formaté. Heureusement que le film remplit à peu près ses obligations fun, via surtout un hilarant personnage de raton laveur transgénique, susceptible et vanneur, qui sauve du désastre ce blockbuster en conserve.