Titre original Sangue del mio sangue
Date de sortie 7 octobre 2015
Réalisé par Marco Bellocchio
Avec Roberto Herlitzka , Pier Giorgio Bellocchio , Fausto Russo Alesi
Scénariste(s) Marco Bellocchio
Distributeur Bellissima Films
Année de production 2015
Pays de production IT
Genre Drame

Synopsis

Federico, un jeune homme d’armes, veut réhabiliter la mémoire de son frère, un prêtre séduit par une nonne, sœur Benedetta. À cette fin, il se rend à la prison- couvent de Bobbio, où, accusée de sorcellerie, elle est enfermée. Benedetta l’ensorcelle à son tour. Elle est alors condamnée à la perpétuité et emmurée vivante.Au même endroit, des siècles plus tard... Federico, un inspecteur ministériel, frappe à la porte du couvent, transformé depuis en prison, puis laissé à l’abandon. Il découvre que le bâtiment est habité par un mystérieux comte, qui ne sort que la nuit.

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Critiques de Sangue del mio Sangue

  1. Première
    par Damien Leblanc

    Au XVIIe siècle, un homme d’armes assiste, dans un couvent-prison, au procès d’une nonne accusée de sorcellerie. Quatre siècles plus tard, un inspecteur issu d’un ministère, joué par le même acteur, se rend sur les lieux désormais abandonnés et croise la route d’un comte aux allures de vampire. Assoiffé d’expérimentations, Marco Bellocchio invente une rêverie fantomatique qui superpose deux époques, pour déplorer le nouveau type de conformisme qu’imposent la modernité et la globalisation. Davantage que les personnages apathiques, c’est l’autoportrait en creux du cinéaste (dont la longévité artistique, de cinquante ans, lui a permis de dépasser les modes) qui fait naître quelques vibrations.

  2. Première
    par Damien Leblanc

    Au XVIIe siècle, un homme d’armes assiste, dans un couvent-prison, au procès d’une nonne accusée de sorcellerie. Quatre siècles plus tard, un inspecteur issu d’un ministère, joué par le même acteur, se rend sur les lieux désormais abandonnés et croise la route d’un comte aux allures de vampire. Assoiffé d’expérimentations, Marco Bellocchio invente une rêverie fantomatique qui superpose deux époques, pour déplorer le nouveau type de conformisme qu’imposent la modernité et la globalisation. Davantage que les personnages apathiques, c’est l’autoportrait en creux du cinéaste (dont la longévité artistique, de cinquante ans, lui a permis de dépasser les modes) qui fait naître quelques vibrations.