Avec Pourquoi j'ai pas mangé mon père, Jamel Debbouze signe son grand retour au cinéma avec un projet un peu fou, faire un film en motion capture.Il aura fallu sept ans de travail à Jamel Debbouze pour que ce projet voit le jour. En salles le 8 avril prochain, Pourquoi j'ai pas mangé mon père, réalisé, mis en scène et joué par Jamel Debbouze est le nouveau pari ambitieux de l'acteur. C'est même "la plus grande aventure de sa vie" (Le Parisien)Sur fond d'histoire d’exclusion à l’époque préhistorique, Jamel Debbouze signe à 39 ans une histoire dont la trame s'inspire des épreuves qu'il a endurées : "J'ai mis beaucoup de moi dans le film. Il parle d'amitié, d'amour, d'exclusion. Etre exclu, ça te marque. Edouard est rejeté par les Simiens, comme une partie des gamins de banlieue par la société" expliquait-il dernièrement dans une longue interview accordée au Parisien.Mais hier soir, pour sa grande première parisienne, Jamel Debbouze a pu compter sur l'amour de la grande famille du cinéma français et amis de toujours pour venir applaudir son film : Omar Sy, sa femme Melissa Theuriau, l'actrice Marina Fois, Florence Foresti, Cyril Hanouna, Agnès Jaoui ou encore le compagnon de Virginie Ledoyen, Arié Elmaleh ont tous répondu présent à l'invitation de l'acteur-humoriste-réalisateur dans la bonne humeur générale et au son des percussionnistes invités pour l'occasion.Retrouvez Jamel Debbouze, sa femme Melissa Theuriau - qui fait ses débuts au cinéma - et Arié Elmaleh, le 8 avril 2015 au cinéma dans Pourquoi j'ai pas mangé mon père.L'histoire de Pourquoi j'ai pas mangé mon père : L’histoire incroyable et trépidante d’Edouard, fils aîné, malingre et répudié du roi des simiens préhistoriques. Après avoir échappé à la mort et grandi loin du trône, Edouard redouble d’ingéniosité et invente le feu, la chasse, l’habitat moderne, l’amour et… l’espoir. Il va révolutionner l’ordre établi et mener son peuple vers l’évolution de l’humanité.La bande-annonce de Pourquoi j'ai pas mangé mon père : Retrouvez les confidences de Jamel Debbouze en couverture du dernier numéro de Première.MC
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