Après une présentation parisienne et glamour la semaine dernière, hier soir, New York a aussi connu son avant-première du très attendu Loup de Wall Street !On a en effet pu croiser sur le tapis rouge new-yorkais du prestigieux Ziegfeld Theatre toute l'équipe du nouveau film du cinéaste américain Martin Scorsese, qui, après avoir passé une dizaine de jours à Marrakech où il a présidé le 13e Festival International du Film, est enfin rentré au pays dans sa bonne vieille ville de New York qui lui est si chère et qui a servi de décor à bon nombre de ses films.Aux côtés du brillant réalisateur qui nous propose ici une grande fresque de plus de trois heures absolument fascinante pour une plongée en apnée dans l'univers des courtiers new-yorkais (lire notre critique du film), on a naturellement pu croiser son acteur-fétiche Leonardo DiCaprio qui a paradé très élégamment sur le red carpet de l'événement.Celui qui confiait récemment ne pas avoir eu recours à un body-double pour les nombreuses scènes de sexe du film, a déambulé très collé-serré avec sa partenaire, la ravissante et séduisante Margot Robbie, atout charme de cette soirée très courue durant laquelle, outre le casting du film - Jonah Hill, Matthew McConaughey -, on a pu voir le véritable Jordan Belfort (dont le film est adapté de son autobiographie) accompagné de sa femme, mais aussi l'acteur britannique Orlando Bloom ou le réalisateur américain Rob Reiner.L'histoire du Loup de Wall Street : L’histoire de Jordan Belfort, courtier en Bourse à New York à la fin des années 80. Du rêve américain à l’avidité sans scrupule du monde des affaires, il va passer des portefeuilles d’actions modestes et de la droiture morale aux spectaculaires introductions en Bourse et à une vie de corruption et d’excès. En tant que fondateur de la firme de courtage Stratton Oakmont, son incroyable succès et sa fortune colossale alors qu’il avait à peine plus de vingt ans ont valu à Belfort le surnom de "Loup de Wall Street".L’argent. Le pouvoir. Les femmes. La drogue. Les tentations étaient là, à portée de main, et les autorités n’avaient aucune prise. Aux yeux de Jordan et de sa meute, la modestie était devenue complètement inutile. Trop n’était jamais assez.La bande-annonce du Loup de Wall Street :
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