Une semaine à peine après avoir annoncé que la quatrième saison de Masterchef serait sa dernière, le chef et juré de l’émission de TF1 est revenu sur les raisons de son départ auprès de nos confrères de Télé 2 Semaines.
C’est la dernière ligne droite pour les candidats de Masterchef. Encore trois en lice, ils abordent vendredi la demi-finale de l’émission. Les deux meilleurs candidats s'affronteront ensuite le 20 décembre prochain pour la grande finale qui mettra un point final, non seulement à la quatrième saison de l’émission, mais également à l’aventure Masterchef d’Yves Camdeborde.Présent depuis le lancement de l’émission, le chef étoilé a en effet annoncé il y a quelques jours qu’il ne comptait pas reprendre du service l’année prochaine sur TF1. Une décision qui n’a pas été prise sur un coup de tête comme il l’a confié à Télé 2 Semaines : "J’ai vécu quatre années fantastiques. Mais mon métier, c’est de cuisiner. Je ressens le besoin de réinvestir ma maison, je veux revenir à mon vrai métier. Quatre mois de tournage c’est long. Le matin, cela me faisait mal au cœur de partir en laissant mes équipes seules. Le soir j’avais l’impression d’être un étranger chez moi. Ce n’est pas une décision prise sur un coup de tête : je me posais déjà des questions avant la saison 4."C’est sur une note positive que le chef étoilé quitte la boutique. Il confie en effet que la quatrième saison de l’émission "a été sa meilleure année" grâce notamment aux efforts de la production : "La production a accepté tout ce que nous avions demandé. Nous trouvions que les défis étaient assez routiniers, ils ont cassé ce rythme.(…)Les producteurs sont respectueux du travail que nous fournissons, du temps que le programme nous demande financièrement et humainement. J’avais un a priori négatif mais je n’ai rencontré que des gens adorables."Quant à savoir qui prendra sa place sur le banc des jurés de Masterchef, Yves Camdeborde avoue qu’il ne compte pas s’immiscer dans les décisions de TF1 : "Ce n’est pas mon rôle (de donner un nom de remplaçant à la production ndlr). Même si il y a pas mal de chefs qui aimeraient le faire !"
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