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Ce road-trip farfelu de deux vieux révolutionnaires (Jean-Marc Rouillan et Noël Godin) à travers le monde militant ne provoquera peut-être pas Le Grand Soir. Cependant, sa galerie d’irréductibles idéalistes lui donne un charme assez unique.
Toutes les critiques de Faut savoir se contenter de beaucoup
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Ces hésitations, cette mélancolie – qui parfois vire à la violente tristesse – luttent contre l’ironie (parfois lourde) et le volontarisme politique pour finir par l’emporter.
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Un OVNI cinématographique.
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Ce film marabout-de-ficelle est un peu simple, très élémentaire même, mais tout compte fait plus inattendu et plus frais que le similaire Saint-Amour, le dernier road-movie de Kervern/Delépine qui patine un peu dans la semoule.
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La réalité est plus prosaïque et réduit l’expédition triomphale des deux compères à une balade sinueuse et laborieuse de garage en garage (pour trouver une Cadillac mythique) et de rade en rade, avec au passage des rencontres avec divers marginaux et militants décalés.