Star, sex symbol, bête de scène, idole... Les superlatifs associés au nom de Claude François ne manquent pas et semblent justifiés. Jeunesse compliquée, période de galère, succès fulgurant et décès précipité, l'homme a en effet rempli toutes les conditions d'admission au statut d'icône. Statut qui se vérifie tous les week-ends sur nombre de dancefloors lorsque retentissent les indémodables <em>"Alexandrie Alexandra"</em>, <em>"Magnolia"</em> ou encore <em>"Cette année-là"</em>, et que tout le monde de 7 à 77 ans se rue sur la piste. Statut qui se vérifie également cette semaine, alors que sort Cloclo, un nouveau film sur sa vie, et que tout le monde de 7 à 77 ans se rue dans les salles obscures. Mais comme pour toutes icônes, la vision que l?on en a est déformée par le prisme de la gloire, Cloclo a ses "dossiers", ses affaires pas belles, belles, belles. On ne reviendra pas ici sur son attitude envers les femmes, pas toujours glam, ni sur ses inspirations parfois douteuses en termes de business (investissement dans le mannequinat ou la presse de charme), mais sur certaines de ses chansons méconnues du grand public, que vous ne retrouverez pas sur la bande originale du film, composée de ses grands classiques et de titres d?artistes qui l?ont inspirés (Otis Redding, James Brown). <em>"Diggy Liggy Lai et Diggy Liggy Lo"</em>, <em>"Rêveries"</em>, <em>"Llora el telefono"</em>... Autant de titres qui trahissent Claude François l?icône, et qui laissent entrevoir les côtés boulimiques et dégénérés de la star, avide de crossovers tous azimuts. Chansons tout simplement ridicules, tentatives reggae ou country, traductions littérales de hits étrangers ou adaptations étrangères de ses tubes? Découvrez dix chansons assassines? pour son interprète.
Star, sex symbol, bête de scène, idole... Les superlatifs associés au nom de Claude François ne manquent pas et semblent justifiés. Jeunesse compliquée, période de galère, succès fulgurant et décès précipité, l'homme a en effet rempli toutes les conditions d'admission au statut d'icône. Statut qui se vérifie tous les week-ends sur nombre de dancefloors lorsque retentissent les indémodables "Alexandrie Alexandra", "Magnolia" ou encore "Cette année-là", et que tout le monde de 7 à 77 ans se rue sur la piste. Statut qui se vérifie également cette semaine, alors que sort Cloclo, un nouveau film sur sa vie, et que tout le monde de 7 à 77 ans se rue dans les salles obscures.Mais comme pour toutes icônes, la vision que l’on en a est déformée par le prisme de la gloire, Cloclo a ses "dossiers", ses affaires pas belles, belles, belles. On ne reviendra pas ici sur son attitude envers les femmes, pas toujours glam, ni sur ses inspirations parfois douteuses en termes de business (investissement dans le mannequinat ou la presse de charme), mais sur certaines de ses chansons méconnues du grand public, que vous ne retrouverez pas sur la bande originale du film, composée de ses grands classiques et de titres d’artistes qui l’ont inspirés (Otis Redding, James Brown)."Diggy Liggy Lai et Diggy Liggy Lo", "Rêveries", "Llora el telefono"... Autant de titres qui trahissent Claude François l’icône, et qui laissent entrevoir les côtés boulimiques et dégénérés de la star, avide de crossovers tous azimuts. Chansons tout simplement ridicules, tentatives reggae ou country, traductions littérales de hits étrangers ou adaptations étrangères de ses tubes… Découvrez dix chansons assassines… pour son interprète.
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