Les Incorruptibles
Paramount Pictures

L'acteur se souvient surtout de ses scènes avec Sean Connery...

C'est l'un des plus grands thrillers de tous les temps. Les Incorruptibles célèbre ses 35 ans cette année et Andy Garcia se souvient.

Dans une interview donnée à ComingSoon, il se réjouit : "Les gens l'adorent. Les gens adorent ce film et il tient très bien à l'épreuve du temps. Certains films que vous faites, quand vous les revoyez plus tard, vous vous dites : mouais... Mais Les Incorruptibles résiste vraiment bien. Pour toutes les raisons que vous connaissez déjà... Le scénario de David Mamet, la réalisation de Brian De Palma, et puis tous ces costumes, les acteurs qui sont dedans, le travail d'Ennio Morricone à la musique... Tous les éléments de ce film résistent et font que Les Incorruptibles restera un grand film pour toujours. Vraiment. Je suis donc honoré d'en avoir fait partie. C'est un privilège."

Une nouvelle série sur Les Incorruptibles pourrait voir le jour


Pour Andy Garcia, jouer les flics intègres à Chicago a lancé sa carrière. Lui permettant en prime de côtoyer des acteurs de génie comme Sean Connery, sacré aux Oscars pour sa performance :

"J'ai fait la plupart du tournage des Incorruptibles avec Sean Connery. Robert De Niro était évidemment Al Capone, mais je n'avais pas de scène avec lui, à part des scènes dans la salle d'audience à la fin. Nous n'avions pas vraiment l'occasion de jouer ensemble. En revanche, avec Sean Connery, j'ai beaucoup joué. Bien sûr, c'était un de mes héros en grandissant. Gamin, dans les années 1960, il était James Bond ! Il était le héros de notre époque. Alors avoir la chance de travailler avec lui a été un immense honneur. Je ne dirais pas que j'étais "intimidé" parce que c'était mon travail. Il fallait que j'assure aussi avec mon personnage et que je fasse attention à ma performance. Mais j'étais extrêmement respectueux. J'ai pu apprécier d'être aux côtés de quelqu'un qui m'a émerveillé. Quelqu'un qui m'a inspiré. Après, une fois qu'on filmait, il était juste Jim Malone et moi George Stone..."