"J’ai dit à James Cameron que si je n’étais pas un Na’vi, je ne le ferais pas."
Acteur phare des années 90 avec des films cultes comme Larry Flynt, American History X ou encore Fight Club, Edward Norton est de retour sur le devant de la scène depuis quelques films après une deuxième partie de carrière relativement discrète à partir des années 2010, jalonnée de films moyens voire totalement oubliables. Récemment, on l’a aperçu dans Alita – Battle Angel, adaptation du manga Gunnm réalisée par Robert Rodriguez et produite par un James Cameron un peu disponible entre deux suites d’Avatar.
Fight Club : quand David Fincher, Brad Pitt et Edward Norton se moquaient des mauvaises critiquesEdward Norton, qui incarne un tout petit rôle dans le blockbuster adapté de l'oeuvre originale nippone, est revenu auprès de Total Film, relayé par Gamesradar, sur la rumeur le rattachant à Avatar 2. Non, l’acteur ne sera pas au générique de cette suite plus qu’attendue, véritable Arlésienne du cinéma américain, repoussée d’un an chaque année depuis l’annonce de sa préparation. "Jim, [surnom de James Cameron, ndlr] est un ami.", explique Norton. "Je l’admire beaucoup. Quand il m’a voulu sur Avatar 2, je lui ai dit que si je n’étais pas un Na’vi, je ne le ferais pas. Je ne voulais pas faire partie du monde industrialisé qui vient détruire Pandora. Je suis un Na’avi ou je ne serais rien du tout. Et il m’a répondu : ‘Okay, peut-être dans le 3, 4 ou le 5. Tu connais Robert [Rodriguez, ndlr] ?’" Ainsi, le comédien a accepté d’apparaître dans Alita afin de collaborer avec James Cameron.
Pour Edward Norton, ce sont les salles qui détruisent le cinéma, pas NetflixProchainement, on retrouvera Edward Norton dans Brooklyn Affairs. Un polar méandreux se déroulant dans le New York des 50’s. Celui-ci ne se contente pas de jouer devant la caméra, il endosse également la casquette de réalisateur. C’est son second long-métrage depuis Au nom d’Anna en 2000. Sortie en salles prévue le 4 décembre 2019.
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