DR
DR
DR
DR
DR
DR
DR
DR
DR
DR
DR
DR
DR
DR
DR
DR
DR
DR
DR
DR
DR
DR
DR
DR
DR
DR
DR
DR
DR
DR

PHOTOS - Star Trek : 34 ans d'affiches originales

Star Trek le film : 1979

Cette première affiche fixera le style des suivantes : titre du film en gros, visages flottants des comédiens principaux, Enterprise au centre et une multitude de couleurs sont au rendez-vous.

Star Trek 2 : La colère de Khan (1982)

<em>"L'aventure humaine ne fait que commencer"</em> annonçait l'affiche du premier opus, très colorée. Changement radical d'iconographie ici. Pour cette suite, l'arc en ciel a laissé place à une "explosion" et des vignettes montrant les différents protagonistes et les grands moments du film. Pour une fois, pas de Kirk (William Shatner) ou de Spock (Leonard Nimoy) au centre de l'affiche, mais une accroche menaçante : <em>"Au bout de l'univers se trouve le début de la vengeance"</em>.

Où le méchant est à l'honneur

Une autre affiche du film met Khan, considéré par beaucoup comme le plus grand méchant de la saga, au centre. L'accroche intimidante est toujours présente, et les deux héros sont revenus, ainsi que Saavik, une Vulcain incarnée par Kristie Alley dans cet opus. Sans oublier l'Enterprise, qui est lui aussi visible sur la plupart des affiches de la franchise.

Star Trek 3 : A la recherche de Spock (1984)

<em>"Une planète qui se meurt, un combat pour la vie, à la recherche de Spock".</em> Suite directe de <em>La Colère de Khan</em>, cet opus suit donc l'équipage de l'Enterprise à la recherche de notre Vulcain préféré, et le personnage est bien évidemment au coeur du poster. Au dessus de lui, deux vaisseaux combattent. C'est toujours Bob Peak qui se charge des dessins.

Star Trek 4 : retour sur Terre (1986)

Avant les affiches officielles, la Paramount avait diffusé ce poster teaser, qui n'explicitait qu'une seule chose : dans cet opus, les héros reviennent sur Terre.

Renvoie les héros du XXIIIe au XXe siècle

Episode le plus barré de toute la saga, Star Trek 4 envoie l'équipage sur Terre dans le but de... sauver des baleines. Pour l'occasion, point de mammifère marin sur l'affiche, mais le grand retour de l'arc en ciel et tout un tas d'éléments qui montrent que cette suite a renvoyé les héros dans le temps. Le décalage est total ! Il aurait pu être encore plus accentué, puisque Spock est affublé durant le film d'une sorte de peignoir vulcain futuriste.

Star Trek 5 : attachez vos ceintures !

<em>"Pourquoi ajoutent-ils des ceintures aux sièges de cinéma cet été ?",</em> demande cette affiche teaser de Star Trek 5. Bien avant la 4D, ce poster joue sur le côté aventurier et promet que cet opus va déménager. Au final, ce ne sera pas tellement le cas : dans cette suite, le frère de Spock, Sybok (Laurence Luckinbill) par à la recherche de... Dieu. Un épisode 100% métaphysique, donc.

L'enterprise revient !

On retrouve le duo phare de la saga sur l'affiche officielle du film, mais l'élément central est bien l'Enterprise, le vaisseau culte de <em>Star Trek</em>, qui revient au coeur des aventures de cet épisode. Il s'agit du dernier poster imaginé par Bob Peak, mais son travail a largement inspiré les artistes suivants.

Star Trek 6 : Terre Inconnue (1991)

Avec ses vaisseaux et son explosion de lumière, cette affiche de Star Trek 6 ancre de nouveau la saga dans le space opera. On est loin de Retour sur Terre ! On reconnait les visages de Kirk, Spock et McCoy, mais aussi, en arrière plan, celui du nouveau méchant, le général Chang (Christopher Plummer).Ce visuel a été repris des années plus tard pour une autre saga de science fiction mondialement célèbre : <em>Star Wars</em>. Au moment de la ressortie en 3D de L'épisode I, <strong>Dark Maul a eu droit au même traitement</strong>.

Les Klingons sont au coeur de cet opus

Une deuxième affiche du film est plus mystérieuse. Elle oppose un Klingon à l'Enterprise, et met une nouvelle fois la "stardate" en avant, sans accroche, ni référence aux héros. Une manière d'insister sur le fait que les Klingons seront très importants dans cette suite.

Star Trek Generations (1994)

Deux acteurs sont de nouveaux mis en avant pour cet opus, Kirk et... Spock ? Non, Jean-Luc Picard (Patrick Stewart), qui va succéder à James dans les opus à venir. Generations s'inspire directement de la série <em>Star Trek Next Generation</em>, et cet épisode fait le lien entre la saga originale et celle-ci. D'ailleurs le sous-titre est écrit plus gros que le nom de la saga. Ce sera le cas pour tous les volets avec Picard.Logo de Starfleet, Enterprise et visage des deux héros, il n'y a pas de doute, Kirk est prêt à symboliquement passer le flambeau. L'accroche confirme : <em>"Deux capitaine, un destin"</em>.

Star Trek Premier Contact (1996)

Avant l'affiche définitive, les Américains ont été teasés par celle-ci, qui n'est pas sans rappeler la course poursuite en Faucon Millenium de Star Wars - Episode 6, même si le vaisseau qui file à la <em>"vitesse lumière"</em> est bien l'Enterprise.

"Toute résistance est inutile"

La phrase préférée des Vogons dans H2G2 est directement tirée de Star Trek, et elle apparait sur toutes les affiches de ce huitième opus. Si Bob Peak n'est plus chargé du design (il a créé officié des épisodes I à V), ce poster reprend le côté "têtes flottantes" des précédents opus. Picard et Data fixent le spectateur dans les yeux pendant qu'une armée de Borgs apparaît en bas de l'image.

Star Trek : Insurrection (1998)

Tiens, un nouveau rayon lumineux ! Après Dieu, le Paradis. <em>Star Trek</em> continue ses réflexions mystiques avec Insurrection, qui annonce que <em>"La bataille pour le Paradis a commencé".</em> Un point de départ trop sérieux pour le public ? <em>Insurrection</em> enregistrera l'un des pires scores de la saga au box-office. Même aux Etats-Unis, pays où <em>Star Trek</em> est absolument culte.

Avec Tom Hardy

Lorsque Tom Hardy s'affichait en Bane, le terroriste de The Dark Knight Rises, nous nous étions amusés du fait qu'il était une nouvelle fois montré de dos sur l'affiche d'un blockbuster, dix ans après Star Trek Nemesis.<strong> Avec beaucoup plus de muscles</strong>...

Star Trek : Nemesis (2002)

Têtes flottantes, toujours, mais sur fond vert, avec l'ombre d'un bad guy armé. Nemesis vaut le coup si vous adorez Tom Hardy, l'interprète du grand méchant de cette suite, mais il n'a malheureusement pas trouvé son public. Après cet opus, l'aventure s'arrête. <em>Star Trek</em> mettra sept ans à renaître de ses cendres sur grand écran.

Présentation de la nouvelle équipe

Il faut aussi que les spectateurs s'habituent à la nouvelle distribution, l'idée de J. J. Abrams et de son équipe étant de moderniser la saga et de revenir aux origines de l'histoire. Nous découvrons donc la première mission de Kirk et de son équipage. Plus jeunes que dans le film de 1979, les interprètes de Spock, Uhura etc s'appellent à présent Chris Pine, Zachary Quinto, Zoe Saldana...J. J. fait tout de même appel à Leonard Nimoy, qui a incarné le Vulcain pendant 50 ans et lui propose de retrouver son rôle culte, via un scénario permettant de croiser deux temporalités. Notons que le nom de la saga est de nouveau mentionné en gros caractères et pour cause : ce reboot n'a pas de sous-titre. Il se nomme simplement <em>Star Trek</em>.

Et montage "à l'ancienne"

J. J. Abrams a expliqué que pour réaliser Star Wars 7,<strong> il comptait ?"honorer la saga sans la vénérer"?</strong><em>.</em> Il a dû suivre la même idée sur Star Trek : avec cette affiche, son reboot est dans la lignée des anciens : têtes flottantes de l'équipage, Enterprise en mouvement, vaisseau ennemi menaçant et logo de Starfleet, c'est une sorte de best-of des éléments qui rappellent immédiatement les premiers<em> Star Trek</em>. Même si les comédiens ont changé, on peut immédiatement deviner qui est qui.

2009 : Star Trek est rebooté par J. J. Abrams

Le but est de réunir les fans de la saga devant ce nouvel opus, tout en intrigant au passage ceux qui ne connaissent rien à <em>Star Trek</em>. Pour commencer, la Paramount s'adresse aux fans, avec ce poster teaser reprenant le logo de Starfleet. Simple et efficace.

Même l'Enterprise a sa propre affiche !

<em>"Le futur commence maintenant"</em>, lit-on ici. Le vaisseau est dévoilé en mouvement et le résultat très esthétique.

Un logo destructeur...

Avec un tel titre (Star Trek Into Darkness), il n'est pas étonnant que le poster soit si sombre. Le concept est le même que pour la première affiche de The Dark Knight Rises : le logo de la saga se découpe dans des ruines d'immeubles, dont des morceaux sont encore en train de tomber.De plus, ce ne sont pas les héros qui sont mis en avant, mais bien le méchant particulièrement destructeur joué par Benedict Cumberbatch. De dos, avec son manteau en cuir, il est juché sur un amas de débris et contemple le désastre qu'il a causé. Une image frappante, qui annonce d'emblée des enjeux sérieux.

Star Trek Into Darkness (2013)

Enterprise toujours, mais qui semble s'écraser sur la Terre. Rien ne va plus dans cette suite ? Avec un tel "character poster" (car oui, on a bien compris que l'Enterprise était un personnage à part entière de <em>Star Trek</em>), la Paramount crée d'emblée une tension. Le sous titre du film reprend le dessus sur <em>Star Trek</em> : c'est bien Into Darkness qui est mis en avant. Cet opus sera sombre, qu'on se le dise !

Double fournée de caracter posters

Les affiches personnalisées sont toujours autant à la mode. Pratiques, elles peuvent être exposées dans le métro, dans la rue... Et surtout, elles affolent les fans sur le web. Pour Into Darkness, la Paramount en diffuse deux sortes : la première est en mouvement, comme ici avec Kirk qui fuit des extra-terrestres sur une planète encore jamais vue. Une référence directe à la première scène du film.

Dédiés à chaque personnage important

Comme ici Scotty (Simon Pegg).

Et en vaisseau Klingon, en plus !

Un poster alternatif est encore plus précis. On voit plus clairement que l'équipage se rend à San Francisco. Tout le monde est réuni ici, derrière le Golden Gate, et l'on découvre le "Star Date", qui reviendra sur plusieurs posters ensuite, pour annoncer la date de sortie du film. L'accroche est inspirée, mais intraduisible en français, puisque l'équivalent de l'expression "How on Earth...?" est "Comment Diable... ?". Le jeu de mot sur la Terre ne marche bien qu'en VO.Aucune trace de l'Enterprise, puisque dans cet opus, Kirk et ses amis doivent se déplacer en Oiseau de Proie Klingon, suite à leurs mésaventures dans A la recherche de Spock.

Character posters

En sept ans, cependant, les techniques marketing ont changé, et la mode est à présent aux affiches personnalisées. Chaque héros de la saga a droit à son poster, sur un bout de logo coloré. Cela peut paraître un détail, mais le titre du film est absent de ces affiches, ce qui laisse entendre que ce logo est tellement célèbre que le studio n'a pas besoin de rappeler de quelle saga il s'agit...

Et mise en avant du méchant

Les autres character posters sont des portraits des membres de l'équipage (armés et/ou inquiets), ainsi que du méchant. Celle-ci est marquante car le désormais fameux John Harrison est le seul à fixer le spectateur droit dans les yeux. Kirk, Spock, Uhura et les autre regardent tous ailleurs, comme si la menace pouvait venir de partout. La tension est à son comble !

Star Trek : 12 films et une vingtaine d'affiches mémorables

Into Darkness sortira mercredi. Comme dans son reboot de 2009, J. J. Abrams rend hommage dans cette suite à des épisodes antérieurs de la saga, tout en modernisant Star Trek. Depuis sa première adaptation en 1979, elle a changé plusieurs fois d'équipages et de styles. Certains volets misent sur l'aventure, d'autres sur la comédie ou encore la philosophie. Chaque opus est différent des précédents, ce qui rend l'univers créé par Gene Roddenberry extrêmement riche.En attendant le nouvel opus, revenons quelques instants sur les affiches (teasers, personnalisées et définitives) des 12 films de la saga. L'illustrateur Bob Peak, célèbre pour son poster d'Apocalypse Now (mais aussi de Superman et Excalibur, entre autres) en a dessiné une partie. Souvent très réussies, elles se répondent parfois, et invitent toujours les spectateurs à découvrir un monde nouveau. Certaines sont un peu kitchs, d'autres évoquent étrangement Star Wars, mais toutes sont intéressantes. <em>"L'aventure humaine ne fait que commencer"</em>, promettait le poster original de 1979. Laissez-vous tenter.Elodie Bardinet (<strong>@Eb_prem</strong>)Voir aussi :<strong>Review - Star Trek Into Darkness : une suite épique et flamboyante</strong><strong>2009 - 2013 : La folle histoire de Star Trek Into Darkness</strong><strong>Pour tout savoir sur Star Trek, c'est ici</strong>

Et une accroche qui fait peur !

<em>"La terre va sombrer".</em> Déjà, de dos, le nouveau bad guy n'était rassurant. De face, semblant avancer droit sur nous, il est encore plus menaçant. Quelques mois avant la sortie du film, alors que les Trekkies cherchent à savoir si le nom de John Harrison cache en fait le personnage de Khan, le studio joue avec les fans en insistant un maximum sur ce personnage.

Into Darkness sortira mercredi. Comme dans son reboot de 2009, J. J. Abrams rend hommage dans cette suite à des épisodes antérieurs de la saga, tout en modernisant Star Trek. Depuis sa première adaptation en 1979, elle a changé plusieurs fois d'équipages et de styles. Certains volets misent sur l'aventure, d'autres sur la comédie ou encore la philosophie. Chaque opus est différent des précédents, ce qui rend l'univers créé par Gene Roddenberry extrêmement riche.En attendant le nouvel opus, revenons quelques instants sur les affiches des 12 films de la saga. L'illustrateur Bob Peak, célèbre pour son poster d'Apocalypse Now (mais aussi de Superman et Excalibur, entre autres) en a dessiné une partie. Souvent très réussies, elles se répondent parfois, et invitent toujours les spectateurs à découvrir un monde nouveau. Certaines sont un peu kitchs, d'autres évoquent étrangement Star Wars, mais toutes sont intéressantes. "L'aventure humaine ne fait que commencer", promet le poster original de 1979. Laissez-vous tenter.Voir aussi :Review - Star Trek Into Darkness : une suite épique et flamboyante2009 - 2013 : La folle histoire de Star Trek Into DarknessPour tout savoir sur Star Trek, c'est ici