Le film choral du réalisateur de L’Auberge espagnole revient ce soir sur Arte.
Dix ans après sa sortie au cinéma, Paris est à nouveau à l’honneur, à partir de 21h sur la 7e chaîne. La rédaction de Première avait cependant été déçue par ce long métrage. Voici notre critique :
Paris est un point de convergences. C’est là qu’échouent les histoires d’amour, les immigrants et les malades du cœur. Klapisch suit les aventures de quelques personnages qui vivent, aiment et souffrent dans la capitale. Le problème, c’est qu’en multipliant les personnages, on est finalement touché par personne. Dommage, car avec un casting aussi lourd on ne demandait qu’à être convaincu. Las, à la trappe, Karin Viard et François Cluzet ! Le réalisateur peine à rassembler toutes ces énergies et n’arrive en fin de compte, qu’à montrer la belle histoire de Romain Duris, son alter ego. Si les beaux moments ne sont pas en manque, le spectateur reste frustré.
Notez qu’en parallèle, France 4 proposera L’Auberge espagnole, précédent succès du réalisateur également porté par Duris.
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