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Tom Hiddleston, Sienna Miller et le casting de High Rise hypnotisent Londres

Sienna Miller à la première de High Rise au London Film Festival

Sienna Miller à la première de High Rise au London Film Festival

Tom Hiddleston à la première de High Rise au London Film Festival

Stacy Martin à la première de High Rise au London Film Festival

Stacy Martin à la première de High Rise au London Film Festival

Elisabeth Moss à la première de High Rise au London Film Festival

Sienna Miller, Tom Hiddleston et Elisabeth Moss à la première de High Rise au London Film Festival

Tom Hiddleston à la première de High Rise au London Film Festival

Vendredi soir, glamour et folie étaient au rendez-vous au 59e London Film Festival, qui accueillait la projection du thriller dérangeant et déjanté High Rise.Tout le casting du film de Ben Wheatley - qui n'a laissé personne indifférent à Toronto, où il a été dévoilé le mois dernier - a foulé le tapis rouge londonien.>>> Festival de Toronto : High Rise perché très très hautTom Hiddleston, acteur principal de cet OVNI cinématographique, était accompagné de Sienna Miller, ange immaculé qui est (heureusement) repassé au blond après avoir osé la teinture poil-de-carotte. Stacy Martin, sombre et délicate dans sa liquette fleurie, côtoyait la sympathique Elisabeth Moss, qui ne chôme pas puisque depuis la fin de la série Mad Men, elle a tourné la saison 2 de Top of the Lake ainsi que le biopic Truth avec Robert Redford et Cate Blanchett.High Rise, adapté du roman de J.G Ballard IGH, qui traite de la rivalité, de l'ambition et de la folie dans une ambiance seventies, n'a pas encore de date de sortie française.L'histoire de High Rise : 1975. Le Dr Robert Laing, en quête d’anonymat, emménage près de Londres dans un nouvel appartement d’une tour tout juste achevée; mais il va vite découvrir que ses voisins, obsédés par une étrange rivalité, n’ont pas l’intention de le laisser en paix… Bientôt, il se prend à leur jeu. Et alors qu’il se démène pour faire respecter sa position sociale, ses bonnes manières et sa santé mentale commencent à se détériorer en même temps que l’immeuble : les éclairages et l’ascenseur ne fonctionnent plus mais la fête continue ! L’alcool est devenu la première monnaie d’échange et le sexe la panacée. Ce n’est que bien plus tard que le Dr Laing, assis sur son balcon en train de faire rôtir le chien de l’architecte du 40ème étage, se sent enfin chez lui.Adaptation du roman de J.G Ballard, IGH