Closer avait dévoilé une interview du père de Nabilla dans laquelle il avait des mots durs envers sa fille. Mais dans une nouvelle interview, il dément et affirme même être fier de sa fille.
Il y a deux semaines, Closer publiait une interview choc du père de Nabilla. Il avait alors déclaré ne "pas comprendre l’engouement qu’elle suscite.Elle n'a pas inventé la poudre. C'est un produit de la société de consommation. (...) C'est à moi qu'elle porte le plus préjudice. Ma fille me fait honte...". Nouveau rebondissement dans cette affaire. Aujourd’hui le magazine Public publie une interview du père de Nabilla dans laquelle il dément ces dires. Khoutir Benattia veut être clair sur une chose : tout ceci est faux. "Je n’ai jamais accordé d’interview à qui que ce soit. Un magazine a titré ‘Ma fille me fait honte’, en prétendant m’avoir rencontré. C’est faux. Ce sont des fous furieux. C’est destructeur pour Nabilla".Cela faisait cinq ans que les deux protagonistes ne s’étaient pas vus. Mais celle qui "rêvait que son père l’appelle" est désormais sereine parce qu’il l’a fait. Depuis peu, ils ont repris le contact et leurs retrouvailles se sont bien passées. Khoutir Benattia confie au magazine que depuis ils se voient, et s’appellent régulièrement. Mais il ne souhaite pas s’étendre sur le sujet. Il déclare que si Nabilla a décidé de s’exposer, ce n’est pas son choix.Contrairement à ce qu’avait déclaré Closer, le père de Nabilla serait en fait fier de sa fille : "je tiens à rétablir la vérité : je suis fier de ce que fait Nabilla. Je respecte ses choix. Elle est ma fille et je l’aime. Je la soutiendrai toujours." Mais il avoue que ce n’est pas évident pour lui de découvrir sa fille en couverture de tous les magazines : "pour moi ça été un choc de la voir sur le devant de la scène. Aujourd’hui je prends de la distance par rapport à tout ce qu’on raconte. Je ne la juge pas et je trouve que ce qu’elle fait, elle le fait bien".Il finit l’interview en livrant ses sentiments envers sa fille : "je l’aime, je la soutiens et je suis là pour elle".
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