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Du cinéma-montagnes russes...
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Tout cela devient très vite assez assommant mais se distingue toutefois par quelques trouvailles de science-fiction comme ce personnage d’infirme envoyant combattre à a place des doubles de lui-même grimés en divers personnages.
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Si l’on se fiche pas mal d’un scénario peu digne d’intérêt et prétexte à une aventure menée tambour battant, on se laisse happer par cette entreprise cinématographique d’un nouveau genre et très référentielle.
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Mais derrière ce grand barnum chorégraphique épatant quoiqu’un peu répétitif se dissimule un polar un peu crétin, qui enfile les archétypes du genre et cède à un humour vulgaire, sexiste, violemment agressif.
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Quel dommage que tout occupé à faire joujou avec sa caméra et ses effets spéciaux, le réalisateur n'a pas écrit une histoire qui tienne la route. Malgré son titre, Hardcore Henry bande mou.
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Les quinze premières minutes sont excitantes, la suite aussi soûlante qu'un jeu vidéo dont on ne tient pas les manettes.