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L’avant-dernier épisode avait joué la carte de l’intime, préférant se concentrer sur la performance du trio et proposant avant la (vraie) fin un climax plus doux, plus intime - le calme avant la tempête. Le 7 bis devait du coup être tout entier tendu vers son dénouement, privilégier le bruit, la fureur. Ce qu’on n’imaginait pas, ce qu’on ne pouvait pas prévoir, c’était à quel point Yates réussirait justement à mêler le grandiose à l’intime; l’épique à l’émotion. En quelques plans, on saisit ce qui était vraiment l’enjeu de la saga et ce que David Yates a réussi à accomplir comme aucun autre (à l’exception d’Alfonso Cuaron). Avoir su capter la puissance de l’univers potterien, la violence des enjeux, tout en ne sacrifiant jamais les personnages et leurs émotions ! Saisir la vérité de l’enfance tout en l’inscrivant dans un environnement d’heroic fantasy impressionnant. Evidemment, le trio assure. Mais tous, de Ralph Fiennes à Helena Bonham-Carter en passant par Warwick Davis sont formidables. On regrettera que quelques personnages n’aient pas l’importance qu’ils ont dans le roman, ou que certaines scènes aient dû être sacrifiées. Ou bien encore l’épilogue, pas plus nécessaire (et mieux amené) que dans le livre.
Mais comme fin de saga, et comme pur objet de cinéma, Harry Potter et les reliques de la mort s’impose comme une vraie réussite. -
L’avant-dernier épisode avait joué la carte de l’intime, préférant se concentrer sur la performance du trio et proposant avant la (vraie) fin un climax plus doux, plus intime - le calme avant la tempête. Le 7 bis devait du coup être tout entier tendu vers son dénouement, privilégier le bruit, la fureur. Ce qu’on n’imaginait pas, ce qu’on ne pouvait pas prévoir, c’était à quel point Yates réussirait justement à mêler le grandiose à l’intime; l’épique à l’émotion. En quelques plans, on saisit ce qui était vraiment l’enjeu de la saga et ce que David Yates a réussi à accomplir comme aucun autre (à l’exception d’Alfonso Cuaron). Avoir su capter la puissance de l’univers potterien, la violence des enjeux, tout en ne sacrifiant jamais les personnages et leurs émotions ! Saisir la vérité de l’enfance tout en l’inscrivant dans un environnement d’heroic fantasy impressionnant. Evidemment, le trio assure. Mais tous, de Ralph Fiennes à Helena Bonham-Carter en passant par Warwick Davis sont formidables. On regrettera que quelques personnages n’aient pas l’importance qu’ils ont dans le roman, ou que certaines scènes aient dû être sacrifiées. Ou bien encore l’épilogue, pas plus nécessaire (et mieux amené) que dans le livre.
Mais comme fin de saga, et comme pur objet de cinéma, Harry Potter et les reliques de la mort s’impose comme une vraie réussite. -
La saga Harry Potter s'achève dans le sang et les larmes. Prenant enfin le temps de soigner son ambiance et sa dramaturgie, Les Reliques de la mort - partie 2 constitue un plaisant spectacle. Mais le film peine pourtant à conclure avec envergure une longue saga qui aura manqué d'audace.
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La saga Harry Potter s'achève dans le sang et les larmes. Prenant enfin le temps de soigner son ambiance et sa dramaturgie, Les Reliques de la mort - partie 2 constitue un plaisant spectacle. Mais le film peine pourtant à conclure avec envergure une longue saga qui aura manqué d'audace.
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Passé une heure d'action trépidante, l'action se délite.
Toutes les critiques de Harry Potter et les reliques de la mort : 2e partie
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Cette seconde partie de l’adaptation du dernier livre, dont le relief ajouté en postproduction fait son petit effet, boucle joliment la boucle d’une saga qui aura fait rêver les Moldus pendant dix ans.
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Cette seconde partie de l’adaptation du dernier livre, dont le relief ajouté en postproduction fait son petit effet, boucle joliment la boucle d’une saga qui aura fait rêver les Moldus pendant dix ans.
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Le réalisateur David Yates signe la fin magnifique de cette sage où tout les ingrédients - le suspens, l'action, la beauté et surtout, l'émotion - sont soigneusement agencés.
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Le réalisateur David Yates signe la fin magnifique de cette sage où tout les ingrédients - le suspens, l'action, la beauté et surtout, l'émotion - sont soigneusement agencés.
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L’expérience de 2h10 passe comme une minute de félicité. Le spectateur, dans l’excitation et l’émotion permanentes (au milieu des instants les plus tonitruants se glissent toujours des instants de silence, comme pour imprégner davantage la psychologie à vif des personnages), ressort ému comme un parent au départ de son enfant vers une autre vie. Harry Potter et les reliques de la mort 2e partie nous prépare à vivre sans lui, avec cette émouvante analogie entre éternité et néant. Amour, vie et mort, tout se mélange pour un bouquet final qui saura marquer les esprits.
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L’expérience de 2h10 passe comme une minute de félicité. Le spectateur, dans l’excitation et l’émotion permanentes (au milieu des instants les plus tonitruants se glissent toujours des instants de silence, comme pour imprégner davantage la psychologie à vif des personnages), ressort ému comme un parent au départ de son enfant vers une autre vie. Harry Potter et les reliques de la mort 2e partie nous prépare à vivre sans lui, avec cette émouvante analogie entre éternité et néant. Amour, vie et mort, tout se mélange pour un bouquet final qui saura marquer les esprits.
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Nos héros ont grandi, ils ont 17 ans, ils conjuguent péripéties mortelles et relations amoureuses. Harry a grandi, comme les Pottermaniacs : c'est le film de la maturité. (...) A voir sans hésiter, que vous soyez Moldu ou sorcier !
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Formidablement rythmé, ne sacrifiant jamais l'émotion [...], avec des effets spéciaux si fluides qu'ils paraissent réels, ce film où tout finit est à la hauteur de l'attente, immense.
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Un climax qui surpasse les attentes. Jamais la magie n'aura été aussi vivante.
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Rebondissements, scènes d'actions époustouflantes, chorégraphies de combats, décors et effets spéciaux hallucinants, l'épilogue ensorcelles.
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Harry Potter a bien grandi et la maturité cinématographique des adaptations a suivi le même chemin, offrant aujourd'hui aux fans (et à tous les autres) un spectacle de haute volée, un dénouement à la hauteur des attentes, bref, un film abouti.
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La saga-culte se conclut au cinéma avec ce huitième épisode, qui ne parvient pas vraiment à allier adaptation fidèle et divertissement intelligent.
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Harry Potter et les reliques de la mort - 2ème partie" déverse les dernières larmes, les dernières armes, les dernières flammes avant que tout s'achève lors d'un affrontement final spectaculaire. La beauté de ce long-métrage suprême vient de l'enchevêtrement céleste entre silence et fureur. Une mélodie à la hauteur de l'évènement.
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David Yates nous offre un dénouement grandiose, avec des effets spéciaux spectaculaires sublimés par la 3D. (...) Un épilogue à la hauteur de nos espérances.
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(...) le final avec toute la troupe tient la plupart des promesses claironnées par la promotion.
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Pourtant la technique n'assure pas seule le tempo du récit, et la séduction du propos. Harry, Ron et Hermione ont poussé, ils ont pris de l'étoffe pour donner plus épaisse consistance à leur personnage. Et donner une consistance humaine, radieuse et rassurante, aux dernières pages de cette volumineuse saga.
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Mené à un train d'enfer (le film dure à peine deux heures, sans le générique de fin), l'affrontement final entre les jeunes sorciers et le seigneur Voldemort conclut énergiquement et violemment l'adaptation de la saga imaginée par l'auteure écossaise sur un coin de table de cafétéria.
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Même si ce 2 accuse une sérieuse baisse de tension succédant à l'inventivité du 1, l'ensemble (...) achève dignement une saga qui demeurera une belle page de cinéma mainstream.
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Techniquement impressionnant, le long-métrage peine à impliquer son audience [...]. Et puis soudain, au détour d'un flash-back, le récit décolle. Enfin, la magie opère.
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Ce dernier fait partie des meilleurs, même s'il est conseillé d'être un familier de l'univers de J.K Rowling pour comprendre les flash-back. (...) On n'a d'yeux que pour Severus Rogue, le professeur déchiré entre le bien et le mal, incarné par Alan Rickman. L'acteur le plus ensorcelant de la saga, c'est lui.
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Le film (...) souffre de quelques défauts d'équilibre inhérents à la complexité de l'histoire et au nombre de personnages. Certains moments, très denses, laissent parfois place à des scènes un peu trop étirées.