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La forme convenue, élégamment moderniste, de ce film ne suffit pas à en diluer la force politique. (...) Le courage et la lucidité du geste suffisent à conférer une beauté certaine au film.
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Une ode à la mise en scène mélodique et mélancolique pour cette fiction du deuil à double mémoire : celle d’un cinéma poétique et politique (hommages à Angelopoulos, Tarkovsky, Güney), et celle de l’âme et de la culture d’un peuple dont la tragédie est toujours niée.
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On passe outre les longueurs pour saluer la manière dont le réalisateur réussi à traiter, avec poésie, ces faits tragiques, enfouis sous le sceau du secret d'Etat.