Toutes les critiques de Marion

Les critiques de Première

  1. Première
    par Christophe Narbonne

    Hervé-Pierre Gustave, dit HPG, s’est fait un nom dans le milieu du porno avant de devenir réalisateur de films “conventionnels”. Enfin, conventionnels, c’est vite dit. Dans Marion, il enfile les saynètes comme ses partenaires féminines, complices de ses délires potaches et cul au cours desquels il disserte sur tout et n’importe quoi en les besognant consciencieusement. Le décalage entre les deux actions (la verbale et la physique) est amusant au début, puis retombe très vite. La chair est joyeuse mais le délire, laborieux, en raison d’une mise en scène très amateur et de dialogues peu inspirés.