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Kenneth Branagh a lâché Shakespeare et tous ses artifices théatraux pour se jeter à corps perdu dans l'univers de Marvel et de ses super-héros. Il réussit le tour de force de rester fidèle à la mythologie du comics tout en y insufflant son propre univers. Pari réussi pour le cinéaste britannique. Avec une bonne dose d'humour, ce Thor version Branagh n'a rien à envier à certains drames shakespeariens. De l'action, de la romance, et une bonne vieille rivalité fraternelle pour les plus cérébraux... Thor séduit tous les publics. Etre ou ne pas être de son côté ? Le choix est rapidement fait !
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Kenneth Branagh a lâché Shakespeare et tous ses artifices théatraux pour se jeter à corps perdu dans l'univers de Marvel et de ses super-héros. Il réussit le tour de force de rester fidèle à la mythologie du comics tout en y insufflant son propre univers. Pari réussi pour le cinéaste britannique. Avec une bonne dose d'humour, ce Thor version Branagh n'a rien à envier à certains drames shakespeariens. De l'action, de la romance, et une bonne vieille rivalité fraternelle pour les plus cérébraux... Thor séduit tous les publics. Etre ou ne pas être de son côté ? Le choix est rapidement fait !
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Être ou ne pas être un superhéros? Branagh fait une réponse de Normand : son film est spectaculaire mais manque, même en 3D, de relief psychologique.
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Être ou ne pas être un superhéros? Branagh fait une réponse de Normand : son film est spectaculaire mais manque, même en 3D, de relief psychologique.
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Personnage moins connu de l'univers Marvel, Thor a droit à son adaptation au cinéma pour préparer le film The Avengers qui doit réunir la clique du même nom sur grand écran. Œuvre divertissante mais pas passionnante, ce Thor un peu brouillon ratisse trop large pour développer une vraie vision du personnage malgré la caution shakespearienne de Kenneth Branagh censée produire du sens - argument finalement purement marketing.
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Personnage moins connu de l'univers Marvel, Thor a droit à son adaptation au cinéma pour préparer le film The Avengers qui doit réunir la clique du même nom sur grand écran. Œuvre divertissante mais pas passionnante, ce Thor un peu brouillon ratisse trop large pour développer une vraie vision du personnage malgré la caution shakespearienne de Kenneth Branagh censée produire du sens - argument finalement purement marketing.
Toutes les critiques de Thor
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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D'une mythologie à l'autre, au cœur de cette grosse production calibrée, le malin Branagh a su conserver son propre style sans perdre son âme. Un exploit qui aurait pu rendre d'autres cinéastes… totalement marteau !
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D'une mythologie à l'autre, au cœur de cette grosse production calibrée, le malin Branagh a su conserver son propre style sans perdre son âme. Un exploit qui aurait pu rendre d'autres cinéastes… totalement marteau !
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Sur une toile de fond fantastique, le cinéaste nous offre des affrontements spectaculaires et tricote des relations tendues, émouvantes et drôles.
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Sur une toile de fond fantastique, le cinéaste nous offre des affrontements spectaculaires et tricote des relations tendues, émouvantes et drôles.
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Disposant d'un budget confortable et d'un casting prestigieux , ce blockbuster en 3D (...) apporte un souffle nouveau aux films de superhéros: plus intéressé par ce qui se passe dans l'univers cosmique de la Terre, le réalisateur met l'accent sur l'aspect héros déchu de son personnage
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Disposant d'un budget confortable et d'un casting prestigieux , ce blockbuster en 3D (...) apporte un souffle nouveau aux films de superhéros: plus intéressé par ce qui se passe dans l'univers cosmique de la Terre, le réalisateur met l'accent sur l'aspect héros déchu de son personnage
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Un blockbuster costaud emporté par le souffle épique de sa mise en scène, à peine diminué par sa fin expédiée.
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Un blockbuster costaud emporté par le souffle épique de sa mise en scène, à peine diminué par sa fin expédiée.
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Kenneth Branagh livre ce qui restera sans doute comme la plus laborieuse de toutes les versions cinématographiques du panthéon Marvel. Plus lourdingue que Hulk, moins drôle que Daredevil, plus macho qu'Iron Man, moins mûr que Spider-Man, Thor n'est pas de bonne compagnie.
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Kenneth Branagh livre ce qui restera sans doute comme la plus laborieuse de toutes les versions cinématographiques du panthéon Marvel. Plus lourdingue que Hulk, moins drôle que Daredevil, plus macho qu'Iron Man, moins mûr que Spider-Man, Thor n'est pas de bonne compagnie.
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Espoir déçu : au royaume divin, des décors pompiers d’or et de glace abritent des combats en images de synthèse sans intérêt.
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Espoir déçu : au royaume divin, des décors pompiers d’or et de glace abritent des combats en images de synthèse sans intérêt.
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Décevant et malade. Deux films en un, donc. L’un Kitsch, pauvre, s’intéressant à la lutte pour le pouvoir, est un film négligé, désinvesti, et son potentiel Star Wars n’a l’air d’être utilisé que dans le but d’expérimenter, de surenchérir techniquement. L’autre, sur la terre, est plus intéressant, plus drôle (…) mais il finit par ennuyer sévèrement, son manichéisme sec prenant toute la place.
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Décevant et malade. Deux films en un, donc. L’un Kitsch, pauvre, s’intéressant à la lutte pour le pouvoir, est un film négligé, désinvesti, et son potentiel Star Wars n’a l’air d’être utilisé que dans le but d’expérimenter, de surenchérir techniquement. L’autre, sur la terre, est plus intéressant, plus drôle (…) mais il finit par ennuyer sévèrement, son manichéisme sec prenant toute la place.
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Enième adaptation Marvel au bout d'une décennie chargée, Thor arrive au bout d'un filon. Cette position historique inconfortable impose donc au film l'obligation d'un renouveau. Que montrer, que dire, avec qui surtout ? Alors qu'on pouvait imaginer un jeune espoir faire table rase du passé, au pire une valeur sûre du moment (Gore Verbinski par exemple) pondre un produit joliment calibré, Marvel a préféré sortir Kenneth Branagh du formol. Pari dont l'incongruité fait l'audace, mais qui s'avère en réalité suicidaire : quelle chance un réalisateur aussi bouilli que cette comète théâtreuse des nineties avait-il de réinventer le film de super héros des années 2010 ? Pas plus que Thor, Ken médiéval débarqué au cœur du XXIe siècle de ne pas évoquer Jean Réno dans Les Visiteurs.
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Enième adaptation Marvel au bout d'une décennie chargée, Thor arrive au bout d'un filon. Cette position historique inconfortable impose donc au film l'obligation d'un renouveau. Que montrer, que dire, avec qui surtout ? Alors qu'on pouvait imaginer un jeune espoir faire table rase du passé, au pire une valeur sûre du moment (Gore Verbinski par exemple) pondre un produit joliment calibré, Marvel a préféré sortir Kenneth Branagh du formol. Pari dont l'incongruité fait l'audace, mais qui s'avère en réalité suicidaire : quelle chance un réalisateur aussi bouilli que cette comète théâtreuse des nineties avait-il de réinventer le film de super héros des années 2010 ? Pas plus que Thor, Ken médiéval débarqué au cœur du XXIe siècle de ne pas évoquer Jean Réno dans Les Visiteurs.