"Elle ne fait plus confiance au gouvernement et elle veut se venger quelque peu..."
Transfuge des films Captain America, Emily VanCamp a fait son retour dans le MCU avec Falcon et le Soldat de l'Hiver ces dernières semaines. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que Sharon Carter a changé. Attention spoilers !
Marvel officialise le nouveau Captain America avec un posterOubliée par les Avengers, traquée par son gouvernement, l'ancienne héroïne a tourné casaque. C'était bien elle, le Power Broker, la grande méchante qui dealait du Super Serum en sous-main. Même si, au départ, VanCamp n'avait aucune idée de ce qui allait se passer pour son personnage :
"Quand j'ai découvert que Sharon était en fait le Power Broker, j'ai trouvé ça parfaitement logique ! Cela renforce vraiment ce que tout cela signifie pour Sharon. Nous rencontrons cette toute nouvelle version d'elle. Malheureusement, elle est le triste produit de la série d'événements découlant des derniers films, où elle a été abandonnée et livrée à elle-même" raconte l'actrice au site officiel de Marvel. "Il est tout à fait normal qu'elle ait été blessée et méprisée et qu'elle soit devenue une méchante."
Sharon fut ainsi exilée dans la ville de Madripoor pendant des années, "comme le symbole de l'intersection inhérente entre qui elle était et qui elle allait devenir", confie le showrunner Malcolm Spellman.
Alors que va-t-elle devenir dans la suite du MCU ? Evidemment, à la fin de Falcon et le Soldat de l'Hiver, Sharon Carter est graciée par l'Amérique et retrouve même son ancienne agence... pour mieux la pirater de l'intérieur ! Le Power Broker n'a pas fini de comploter : "De toute évidence, elle a un plan beaucoup plus vaste (que la série)... Et ce n’est pas pour le bien commun, comme avant. Je peux comprendre son point de vue. Elle ne fait plus confiance au gouvernement et elle veut se venger quelque peu. Qu'est-ce que tout cela signifie au bout du compter ? On verra..."
On imagine qu'on retrouvera Sharon Carter et Emily VanCamp dans Captain America 4, face à Sam Wilson, au cinéma cette fois.
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