Comme Yves Mirande, il joue au début du parlant les hommes-orchestres à la Paramount française. Il y paraît dans de nombreuses comédies, de court ou de long métrage, dont il compose souvent le scénario et que tournent René Guissart (Rien que la vérité, 1931), Louis Mercanton (Chérie, id.) ou Roger Capellani (Avec l'assurance, 1932). Le muet avait vu ses débuts (Villa Destin, M. L'Herbier, 1921) et Raymond Bernard lui confie, en 1934, le rôle de l'escroc dans Tartarin de Tarascon. Après la guerre, voué à la radio, il n'apparaît plus que dans des productions sans éclat (Destins, R. Pottier, 1946 ; le Collège en folie, Henri Lepage, 1954).