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La prolifération d’une céréale industrielle nocive menace le monde d’une catastrophe écologique. Tante Hilda et son musée végétal seront-ils les sauveurs escomptés ? Jacques- Rémy Girerd (La Prophétie des grenouilles, Mia et le Migou) poursuit ses recherches stylistiques avec ce dessin animé auquel un trait inachevé donne des airs de work in progress au rythme endiablé. Cet aspect volontiers brouillon résume hélas le film, dont le contenu protestataire a tendance à étouffer la poésie et la part enfantine, sous-exploitées
Toutes les critiques de Tante Hilda !
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Délirant, fantaisiste, charismatique, Tante Hilda fait passer son message de vie et de plante sans forcer le trait. Avec sept années de production et un générique de fin farfelu et pédagogique mettant en avant les efforts pour parvenir à pareil résultat, le film est une nouvelle illustration des singuliers talents du "made in France
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Tante Hilda est une fable politique, un conte écolo et une autre réussite pour Folimage.
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, Jacques-Rémy Girerd repart au combat pour l'écologie avec cette merveille d'animation où une botaniste va carrément sauver le monde grâce à son jardin extraordinaire. Trépidant, mordant, et coloré à la manière de Matisse. Garanti sans OGM !
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Il y a de quoi dégoûter n’importe qui des OGM dans cette fable tendre et drôle qui sait faire sourire pour mieux délivrer son message important.
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Un dessin animé unique en son genre, avec un message écologique pour le grand public.
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Tante Hilda, un dessin animé traditionnel, un conte écolo-boboysant sympathique sur les bienfaits des plantes et les dangers de l'agriculture intensive.
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Le graphisme rattrape les petites erreurs d’un long métrage qu’on pense adresser aux enfants mais qui parle d’une véritable histoire d’adulte.
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Rien que pour la qualité du graphisme, vous irez, en famille, vous divertir et penser à votre planète.
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Les créateurs de la Prophétie des grenouilles et de Mia et le Migou nous livrent une fable animée et écolo pour petits et grands, dont le scénario man que d’invention. Mais le message de bon aloi passe grâce aux voix de Sabine Azéma et de Josiane Balasko qui le portent.
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Ce conte moderne écolo fustige le diktat du profit financier au détriment de la planète et de la santé publique. Le tout avec bonne humeur et sans mièvrerie.
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Jacques-Rémy Girerd ("la Prophétie des grenouilles"), lui, vise à sensibiliser nos bambins à l’écologie et au problème des OGM. Dommage qu’il s’y emploie avec un imaginaire et un coup de crayon aussi vieillots et limités.
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Si on n’y retrouve pas la force satirique directe et ravageuse de La Prophétie des grenouilles, Tante Hilda ! demeure une œuvre que la naïveté apparente de son propos n’empêche pas de créer un univers visuel merveilleux, plus complexe qu’il n’y paraît, et qui emporte finalement l’adhésion.
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Un conte à la Tomi Hungerer (Les Trois Brigands, Jean de la Lune), en plus militant et moins poétique.
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Les studios Folimage livrent, au terme de sept années de production, une fable écologique drôle et enlevée.
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Une belle fable écolo, engagée et rigolote.
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Un peu trop manichéen dans son traitement, ce conte écologique bénéficie d'une animation artisanale aussi variée qu'expressive, tout à fait superbe.
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Jacques-Rémy Girerd, grand maître de l'animation française et génial réalisateur de « la Prophétie des grenouilles » et de « Mia et le Migou », a décidé de faire un film sans personnage d'enfant. Du coup, on voit mal à quoi les jeunes spectateurs vont pouvoir se raccrocher dans cette fable écologique qui force un peu le trait malgré son délicat graphisme crayonné.
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Jacques-Rémy Girerd raconte une apocalypse végétale dans une fable animée résolument moderne. Si on accroche au crayonné visible et à la palette pastel, le scénario tourne en rond et accumule les longueurs.
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La fable s'enracine ainsi dans un manichéisme improductif qui minore les plaisirs pourtant vifs proposés à nos yeux et à nos oreilles.
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Le troisième long-métrage de Jacques-Rémy Girerd. Loin de la réussite de "La Prophécie des grenouilles" et de "Mia et le migou", il se laisse ici déborder par un discours démonstratif qui perd sa saveur et son humour.
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Jacques-Rémy Girerd poursuit son œuvre de sensibilisation du jeune public aux questions environnementales. On reconnaît au cinéaste d’animation, fondateur du studio Folimage, de louables intentions sur le fond, mais son film déçoit et irrite par une posture caricaturale qui finit par desservir l’objectif poursuivi.
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Un dessin animé écolo ambitieux mais raté.