Arrivé à Hollywood à la fin du muet, il tira parti de sa voix éraillée, résultat d'un accident d'enfance, pour paradoxalement s'imposer comme faire-valoir paysan de cow-boys chantants dans des films aujourd'hui oubliés. En 1939, il a la chance d'apparaître dans la Chevauchée fantastique de John Ford et poursuit une carrière semi-comique (qu'il orienta dès 1950 vers la TV populaire) toujours dans des westerns ou des films d'aventures : Montana Belle (A. Dwan, 1952) ; les Deux Cavaliers (J. Ford, 1962) ; l'Homme qui tua Liberty Valance (Ford, id.).