Toutes les critiques de Beginners

Les critiques de la Presse

  1. StudioCiné Live
    par Christophe Chadefaud

    Incroyablement investis dans leur mal-être respectif, Ewan Mcgregor et Mélanie Laurent livrent une romance complice (...) On embrasse Beginners avec tout ce que l'on peut y projeter ou on le rejette, étouffé par ce vortex de tristesse qui ne laisse place à rien d'autre.

  2. Le Figaro
    par Marie-Noëlle Tranchant

    Si c'était une comédie romantique hollywoodienne de pure fiction, elle aurait un côté démonstratif, une morale facile : soyez vous-même, éclatez-vous, et mourez content. Mais il y a un accent de sincérité et d'interrogation qui retient par sa justesse.

  3. Télérama
    par Louis Guichard

    une comédie mélancolique interprétée avec finesse

  4. Pariscope
    par Arno Gaillard

    Mike Mills fait preuve d’une belle maîtrise cinématographique, aussi bien dans l’écriture du scénario que dans la réalisation et la direction d’acteurs.

  5. A voir à lire
    par Marine Bénézech

    Christopher Plummer impeccable en homme découvrant sa véritable personnalité à 75 ans : Beginners est une oeuvre touchante et sincère.

  6. par Alex Masson

Le second film de Mike Mills souffre lui aussi de surcharge. La narration maniérée évite d'évoquer frontalement la douleur, asphyxiant parfois une belle mélancolie et les promesses d"une histoire d'amour naissante portée par des acteurs tout en vulnérabilité. Mills a visiblement besoin de grandir un peu pour que son cinéma s'affirme, quelque part entre Michel Gondry et Miranda July.

  • Nouvel Obs
    par Nicolas Schaller

    Avec ses héros timides et sa petite musique poético-dépressive, le cinéma autofictionnel de Mike Mills (« Age difficile obscur ») s’inscrit dans la lignée des premiers films de (ses amis) Sofia Coppola, Spike Jonze et Michel Gondry. En plus fragile et avec, donc, un train de retard que compensent largement ses acteurs, en osmose totale avec leurs personnages, ses jolies trouvailles (le chien aux pensées sous-titrées…) et un regard très personnel, toujours à la bonne hauteur d’homme : celle de l’adolescent que nous sommes tous face à l’amour et de l’enfant que nous redevenons face au deuil.

  • Les Cahiers du cinéma
    par Joachim Lepastier

    apeuré par le désarroi qu'il tente de partager, le film cherche toujours une issue maligne par un effet connivent, un artifice séducteur sciemment placé pour flatter l'oeil et l'oreille

  • Libération
    par Didier Péron

    Répondre à la question filiale universelle : comment vivaient mes parents avant qu’ils ne le deviennent ? C’est là le pari le plus réussi de Beginners, le traitement du deuil et du sentiment amoureux étant plus que superficiel : bâclé.

  • Le Parisien
    par Marie Sauvion

    Si l’intrigue amoureuse proprement dite entre Ewan Mcgregor et Mélanie Laurent, au demeurant parfaits, finit par s’essouffler un brin, le personnage du vieux papa homo, merveilleusement interprété par Christopher Plummer, se révèle constamment émouvant.

  • Télé 7 jours
    par Philippe Ross

    jouant sur les flashbacks et les flashforwards, avec un joli trio, voilà une épatante leçon d'amour filial, d'optimismes et de tolérance

  • Le Monde
    par Thomas Sotinel

    Les séquences qui mettent en scène ce glorieux automne et son agonie atteignent une intensité dont on s'aperçoit qu'elle manque au reste du film.

  • Fluctuat
    par Jérôme Dittmar

    Qu'on le veuille ou non, on n'échappe pas à la famille. La preuve encore avec Beginners qui, observé à l'aune de The Tree of Life, permet de dresser un petit bilan de deux conceptions du cinéma, de la famille et du monde.