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Le passage sur grand écran s’avère néanmoins réussi et fidèle à la version télé, à ses dialogues fulgurants, ses personnages de losers magnifiques et sa pléiade de guests
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Fidèle à la recette qui a fait son succès, la version longue de ce "Friends" à la sauce star-system hollywoodien se distingue une fois de plus par son humour potache et ses guest-stars à la pelle.
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Une satire sans aucune méchanceté, mais reposant sur une ironie bienveillante, une écriture virevoltante et des caméos.
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Si l'ensemble ne s'adapte pas toujours parfaitement au format cinéma, Vince et sa bande de joyeux fous furieux sont toujours aussi attachants et euphorisants.
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Quatre ans après sa huitième saison sur HBO, "Entourage" est de retour au cinéma. La première chose qui doit être dite, c'est qu'il ne faut pas avoir vu la série pour apprécier le long-métrage.
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Un film drôle et subversif sur le plus grand impresario de Hollywood.
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A aucun moment l'équipe du film ne le prend trop au sérieux. Et tant que vous êtes dans le même état d'esprit qu'eux, c'est très plaisant.
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Ari, le personnage de Jérémy Piven, est tellement narcissique et mégalomane qu'il est plutôt drôle à regarder. Mais les autres personnages principaux sont le type de potes à qui on devrait jeter des verres à la figure régulièrement.
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Une intrigue linéaire - le héros parviendra-t-il à finir le film qu’il réalise ? - permet au réalisateur de livrer un patchwork un brin décousu de scènes riches en dialogues rentre-dedans et en allusions à la vie secrète des stars.
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De sa forme à son rythme qui rappelle celui des épisodes, ce film ressemble à une saison 9 condensée - une saison qui a ses moments mais qui n'apparaîtrait pas dans le classement du meilleur de la série.
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Tous les personnages habituels sont là, tout comme les maisons prétentieuses, les Ferrari décapotables, les éléments incontournables de Los Angeles et des femmes topless. Le film célèbre une idéalisation de la consommation sans aucune forme de critique.
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Y avait-il un besoin criant de faire un film tiré d'"Entourage" ? Probablement pas. Mais ce long-métrage est malgré tout un hommage à la performance emblématique de Piven en Ari Gold, un démon qu'on aime.
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Une bromance plutôt bien rythmée qui nous fait rire souvent mais ne nous surprend jamais…
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Ce n'est peut-être rien de plus qu'une comédie de marque sur le monde fantaisiste d'Hollywood, mais elle est rythmée. C'est juste amusant.
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Une comédie complètement barrée, inégale, mais qui a le mérite de nous entraîner dans les aventures des acteurs principaux qui s'éclatent énormément.
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La film savoure le bling-bling hollywoodien autant qu'il s'en moque. Son producteur exécutif, Mark Wahlberg, se garde bien de mordre la main qui le nourrit. Tout en s'amusant à égratigner Hollywood pour mieux en renforcer le mythe.
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Pour une série qui parlait de saisir une opportunité quand elle se présente, ce film a presque raté la sienne.
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A trop vouloir réconcilier les formes (cinéma, série) tout en ménageant ses personnages, "Entourage" devient un objet neutre qui ne concerne plus grand monde, ni les anciens téléspectateurs de HBO, ni les amateurs de comédie US nouveau genre.
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C'est comme reprendre contact avec un vieil ami et se rappeler les raisons qui nous ont poussés à ne plus le voir : il s'encroûte et n'a rien de nouveau à dire.
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Au bout d'un moment, on s'attend à ce qu'une histoire sur l'industrie cinématographique nous parle de films et de business. Mais Ellin et les autres n'ont jamais rien à dire sur ces sujets.
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Pas la peine de courir dans les salles, car le film, réalisé pour plaire aux fans de la version "petit écran", déçoit.
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Décevant par son scénario famélique, "Entourage", le film, ne vaut pas mieux qu'une rasade des plus passables des épisodes de la série, et n'aura qu'une vertu : nous inciter à revoir ses premières saisons, bien plus réussies.
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On a vu des zombies qui suscitent plus d’empathie que cette collection de personnages en deux dimensions (une libido hétérosexuelle et patriarcale en abscisse, une cupidité qui ne peut se satisfaire qu’en dollars en ordonnée).
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Ecriture bâclée, acteurs en roue libre, clichés tous azimuts… Le ratage est (presque) total.
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Grosses voitures, grosse plastique, expressions figées (mention spéciale à celle de Kevin Dillon, imperturbable) et répliques toutes plus prévisibles les unes que les autres se répondent dans des champs contre champs insipides.
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Le succès d’"Entourage", la série, reposait sur un malentendu que la sortie d’Entourage, le film, permet opportunément de dissiper : marquetée comme cool, cette tête de gondole HBO était en réalité has been depuis belle lurette.
Entourage