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Bach gère le projet avec une précision suffisante. Le film ne survole pas le genre et l'intrigue est confuse, mais il réussit les éléments basiques avec un style clairement frais et européen.
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Un film explosif et sans temps mort.
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Infidèle, bâclée et absurde, cette adaptation est néanmoins suffisamment excessive et incohérente pour faire le bonheur de l'amateur de nanars décomplexés.
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Si on enlève tout ce qui concerne l'utilisation des armes à feu, "Hitman : Agent 47" durerait 10 minutes environ.
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"Hitman : Agent 47" s'avère être le genre de thriller abrutissant et haletant que les studios produisent à tour de bras pour remplir les cinés pendant la canicule estivale.
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Au final, "Hitman : Agent 47" est comme la profession qu'il vénère, il donne l'impression d'être purement contractuel.
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Aussi violent et sans âme que son nom le suggère.
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Bête comme ses pieds et juste banal, "Hitman : Agent 47" échange les cerveaux pour des balles et les personnages pour des jouets mécaniques.
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Un film d'action sans âme.
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La violence est le but d'"Hitman : Agent 47", mais il n'y en pas assez pour nourrir ce deuxième film adapté de la série de jeux vidéo "Hitman".
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Comment doit-on l'appeler exactement ? Le 47ème meilleur film d'action de 2015 ? Un long-métrage publicitaire pour Audi, une promo pour l'Office du Tourisme de Singapour ? La contribution artistique la plus inutile jamais faite par quelqu'un qui s'appelle Bach ?
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(...) le parfait exemple du nanar sans saveur. (...) Bête et fainéant.
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Ecriture nulle qui enfonce les portes ouvertes et se dégage de tout semblant de réalisme par des raccourcis inacceptables, images de synthèse disgracieuses qui donnent un cachet bon marché à la vilaine chose, musique assassine qui pompe allègrement Hans Zimmer, "Hitman : Agent 47" est un rassemblement éhonté de tous les vices qui habillent les produits vidéo.
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Ce film est profondément stupide.
Hitman : Agent 47