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(...) cette production se révèle extrêmement vieillotte. La reconstitution privilégie les ambiances nocturnes ou menaçantes pour signifier lourdement le retour à l'âge des ténèbres et les personnages sont tous schématisés alors qu'il est question de prise de conscience. Reste un mélo archiconvenu.
Toutes les critiques de John Rabe, le juste de Nankin
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Steven Spielberg, s’il va voir John Rabe, ne pourra qu’applaudir à ce film parfaitement mis en scène et dont la tension ne faiblit jamais. Décidément, les Justes inspirent du grand cinéma.
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Beau personnage qui mérite d'être découvert, interprété avec une sobre humanité par le très convaincant Ulrich Tukur. Gallenberger le place au centre d'une grande fresque historique, un peu académique, certes, mais bien menée, et souvent très évocatrice.
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Cette histoire dans l'histoire est filmée et interprétée de façon trop académique et édulcorée pour lui donner toute la force qu'elle mérite. Elle ne fait qu'effleurer les atrocités vécues par les 300 000 victimes et ne recrée jamais la terreur ressentie par les survivants.
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Trop classique, ce drame historique ne convainc que par son interprétation et sa réalisation.
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Cette histoire dans l'histoire est filmée et interprétée de façon trop académique et édulcorée pour lui donner toute la force qu'elle mérite.
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Le film se veut donc le portrait, un brin édifiant, de celui que le titre français désigne comme un juste.
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Nul doute que ce personnage a fait preuve d'un courage hors du commun, mais la platitude de cette hagiographie ne lui rend guère hommage.
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Distribution inégale, scénario démonstratif et mise en scène illustrative.
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Exécutions sommaires, décapitations, irruption des nippons dans un dortoir de jeunes filles qu’ils forcent à se dévêtir... On ne doute pas un instant des intentions du réalisateur, ni de la véracité des faits, mais ils ne gagnent rien à la sensiblerie ourlée de dramatisation que le film choisit d’exploiter.