Le Hobbit : un voyage inattendu

Le film commence au même moment que La Communauté de l'anneau, lorsque le vieux Bilbo (Ian Holm) couche ses aventures de jeunesse sur le papier. (...) Comme il l'a fait pour Le Seigneur des Anneaux, Jackson va, à partir de ce sujet, profondément modifier la trame du roman de J.R.R. Tolkien : mais alors que la première trilogie taillait dans le gras du récit pour être plus fluide, plus rapide, bref plus cinématographique,Un voyage inattendu épaissit considérablement Bilbo le Hobbit pour en faire une trilogie aussi dense que la première. (...) l'imagerie est belle, le character design fabuleux, mais, dans son ensemble, Un voyage inattendu ressemble tellement à La Communauté de l'anneau (y compris dans son storytelling) que la simple comparaison écrase ce nouveau film à l’avantage évident du premier. Peter Jackson s'est laissé corrompre par la formule magique de la fantasy 2.0 qu'il avait lui-même inventée en 2001.

Laissez-vous entraîner par le magicien Peter Jackson au Pays des Monts Brumeux et du fameux Gollum. L'anneau précieux n'a rien perdu de son pouvoir : vous allez en prendre plein les yeux.

Splendeur visuelle peuplée de créatures et de décors époustouflants, prouesse technique autant que film d’atmosphère en parfaite cohésion avec les précédents.

En adaptant en trois volets le petit livre de Tolkien, Peter Jackson n'a rien fait d'autre que prendre le temps d'en raconter l'histoire. Si Le Seigneur des anneaux jouait déjà sur une alternance entre rythme impitoyable de l'épopée et séquences contemplatives (notamment dans le monde des elfes, où le temps s'alanguit même lorsque la guerre fait rage), Le Hobbit tout entier doit se comprendre dans la parenthèse temporelle du conte. (...) Ne reste plus qu'à s'asseoir pour retrouver les trois conteurs : l'écrivain, le hobbit, le réalisateur. Ceux qui ne les ont pas aimés jadis ne les aimeront pas mieux. Pour les autres, l'aventure qu'ils racontent reste sans pareille. Le temps indéfini de la veillée commence, et les contours de la Terre du Milieu se redessinent : l'espace devant l'oeil est ouvert.

si The Hobbit est un chef-d’œuvre du déracinement, il s’apprête pourtant à faire sa chose de votre imaginaire. Faites lui donc un peu de place et, surtout, n’écoutez pas les fâcheux qui confondent mythes à cœur ouvert et mièvreries poisseuses.

les paysages, les aventures, la 3D, tout contrinue à faire de ce film une réussite grand public. Avec un seul bémol : sa durée, 2 h 45, alors que ce n’est que le début d’une nouvelle trilogie.

Peter Jackson revient en sa Terre du Milieu et porte à l’écran ce premier roman écrit par J.R.Tolkien. Et c’est avec bonheur que les fans de la saga se replongent 60 ans avant La communauté de l’anneau pour retrouver des personnages désormais familiers et des « petits » nouveaux. Adoptant un ton plus léger, ce premier volet regorge de créatures fabuleuses, de décors grandioses et de scènes épiques. Bénéficiant des dernières avancées de l'art numérique, ce voyage fantastique, même s’il ne renoue pas vraiment avec l’intensité de la trilogie culte, est un spectacle total. Vivement donc La désolation de Smaug, la suite prévue pour 2013.

Un périple évidemment mis en scène par Peter Jackson, qui avait déjà magnifiquement orchestré “Le Seigneur des anneaux”. C’est l’occasion pour Bilbon et les treize nains de guerroyer avec des trolls, des gobelins et des orques, de croiser la route de Gollum, précédent propriétaire de l’anneau, mais surtout, pour nous, de retourner en Terre du milieu pour un voyage grandiose, un chef-d’œuvre majestueux et haletant qui redonne sa majuscule au mot cinéma.

Peter Jackson promet un retour aux source de l'oeuvre de Tolkien, avec plus de légèreté et d'humour british. En plus d'un spectacle grandiose.

Peter Jackson s’empare aujourd’hui de Bilbon le Hobbit, récit antérieur au Seigneur des Anneaux, qui fête les soixante-quinze ans de sa publication. Optant pour un ton plus léger, avec une bonne dose d’humour véhiculé par le héros (excellent Martin Freeman), le film enchaîne les batailles dans des décors naturels vertigineux, qui ne suffisent pas à justifier l’utilisation de la 3D. Si Peter Jackson se repose sur ses acquis avec cette aventure codifiée qui alimente un peu plus la légende, il démontre qu’il n’a pas perdu la main.

Du premier roman très court de ­Tolkien (...) Peter Jackson a tiré le maximum pour en faire un grand spectacle de près de trois heures, ponctué par des scènes de combat dantesques et des paysages naturels à couper le souffle. Et si l'on frise parfois l'indigestion d'effets spéciaux, de mouvements de caméra vertigineux amplifiés par la technologie de la HFR, il faut reconnaître que l'on est vite emporté par le lyrisme, la puissance visuelle de la réalisation, le rythme effréné du montage.

On prend les mêmes et on recommence. C’est juste une variation autour du Seigneur des anneaux. Mais au moins c’est bien construit et très beau !

Du premier roman très court de ­Tolkien (...) Peter Jackson a tiré le maximum pour en faire un grand spectacle de près de trois heures, ponctué par des scènes de combat dantesques et des paysages naturels à couper le souffle. Et si l'on frise parfois l'indigestion d'effets spéciaux, de mouvements de caméra vertigineux amplifiés par la technologie de la HFR, il faut reconnaître que l'on est vite emporté par le lyrisme, la puissance visuelle de la réalisation, le rythme effréné du montage.

brumeuses : un spectacle bluffant que Peter Jackson, capitaine d’industrie et faiseur doué, orchestre avec brio. Seul absent, porté disparu quelque part en Terre du Milieu : Peter Jackson, l’auteur.

le premier volet du Hobbit, qui en comptera trois, fait dans le haut du panier. D'accord, la surprise est moins surprenante qu'à l'époque de la sortie de la trilogie du Seigneur des anneaux. Le début se traîne un peu, les personnages sont moins charismatiques, mais, là aussi, jouer au blasé serait ridicule face à un tel spectacle, mis en scène par un type qui a gardé ses yeux d'enfant et qui sait, mieux que beaucoup, apporter de la fluidité et du plaisir à une intrigue qui nécessite du souffle.

Ceux qui étaient déjà conquis, se glisseront avec délice dans cet univers déjà familier, enthousiastes de prendre part à cette nouvelle quête, heureux de retrouver de vieux personnages (Bilbon, Gandalf, Golum, Galadriel ou Elrond) ou de faire connaissance avec les autres. Exaltés d’assister à la mise en place de cette nouvelle histoire, de comprendre comment Bilbon récupère l’anneau, de constater que le mal, déjà, se cache dans les détails. Et enchantés de voir, une nouvelle fois, la magie opérer.

Vous avez aimé Le Seigneur des anneaux, vous adorerez Le Hobbit ! On prend immédiatement en sympathie le personnage de Bilbo, aventurier malgré lui qui se surpasse au fil des épreuves que lui ont réservées Tolkien et Peter Jackson. Son voyage inattendu offre de beaux moments de cinéma rendus d’autant plus forts par un relief parfaitement maîtrisé.

Le 1er chapitre de « Hobbit » s’avère être vraiment frappant.

Une succession de plans sublimes et de scènes d’actions époustouflantes pour ravir les fans, avec une touche d’humour plus marquée que sur la trilogie du « Seigneur des anneaux », cependant « Hobbit » n’a pas l’envergure de son prédécesseur.

« Un voyage inattendu » est un film satisfaisant, divertissant mais il ne fascine pas et n’apporte pas autant de stupéfaction que « le seigneur des anneaux ».

Ce film manque de splendeur. Il est effectivement sensationnel mais trop souvent grandiloquent, trop de longueurs injustifiées.

Un film trépidant, éblouissant mais un peu ennuyeux.

Une nouvelle expérience convaincante, une technologie visuelle qui ne cesse d’évoluer. On sort avec l’excitation et la motivation d’aller voir les 2 suivants.

Peter Jackson se replonge dans Tolkien avec le Hobbit, prequel en trois actes du Seigneur des anneaux. Gentillet.

Après la trilogie du Seigneur des anneaux , Peter Jackson adapte à nouveau un roman de J.R.R. Tolkien, sans parvenir à séduire.

Tous les ingrédients qui firent le succès de la première trilogie, adpatée de Tolkien - Le Seigneur des anneaux - sont présents dans Le Hobbit. Mais seulement pour du pas mal et du moins bon.

Mais pour quelques scènes qui ressuscitent l'esprit de la première trilogie, il faut supporter 2h45 de spectacle qui n'a plus rien d'inédit.

Du cinéma à grand spectacle magistralement mis en scène, servi par des effets spéciaux bluffants et qui pose les jalon d'une nouvelle trilogie. Mais sans parvenir à ressusciter ce sens du merveilleux épique qui nous transportait dans le "Seigneur des Anneaux".

Annoncé il y a des années, passé sous la houlette de Guillermo Del Toro, puis abandonné et finalement relancé, Le Hobbit est certainement le divertissement le plus attendu depuis… Le Seigneur des Anneaux ? S’il faut rééditer le succès de la trilogie, le petit frère semble bien parti. Cependant Peter Jackson est meilleur entertainer que cinéaste : son adaptation, bien que très vivante et énergique, répond singulièrement absente aux questions soulevées par cette histoire de foyer et de peur de l’inconnu. Un bilan en demi-teint

Après "Le Seigneur des anneaux", Peter Jackson retourne à l'œuvre de Tolkien en adaptant "Bilbo le Hobbit" : même souffle épique, même univers magique, on reste sur des terres (du milieu) familières.

Quelques éléments du film sont aussi spectaculaires que dans « le seigneur des anneaux » mais, malheureusement, nous sommes pris au dépourvu sur le reste et on s’ennuie dès le début.

« Un voyage inattendu », promet Peter Jackson. Pourtant, ce paquetage heroic fantasy dont on liste, en vrac, l’humour paillard, les plans surchargés d’effets spéciaux (d’une laideur certaine), l’oppressante masculinité (pas une femme ou presque en 2h45, même en figuration) et la ligne narrative digne d’un jeu vidéo Atari, le cinéaste le trimballe depuis dix ans avec une permanence aussi stérile qu’indécrottable.

Onze ans après la trilogie du « Seigneur des Anneaux », Peter Jackson s’en retourne en Terre du Milieu en signant le premier volet du Hobbit, une nouvelle trilogie inspirée de Tolkien. Une longue introduction (2h44 !) qui remplit le cahier des charges du divertissement pour enfant, entre jeu vidéo et parc d’attractions. À défaut de trouver un souffle épique, Jackson charge la mule en scènes d’action en 3D, aussi spectaculaires que vaines (...)

Qu’est ce qui tient debout dans tout ça ? pas grand-chose...

Un défilé permanent de gargouilles 
et un filmage dégoulinant, que ne compense pas une mécanique guerrière archi déjà vue. À ne pas suivre.

Un prequel répétitif et disgracieux du Seigneurs des Anneaux. Pour les fans only.

« Le seigneur des anneaux » a été remplacé par une trilogie qui ressemble à un spectacle de vieilles marionnettes usées, sorties du grenier.