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Après avoir coréalisé Narco avec son complice Gilles Lellouche, Tristan Aurouet livre en solo un premier film décevant. Si l’on passe sur la réalisation hasardeuse (mise au point pas vraiment au point pour une caméra portée cadrant en gros plan la majeure partie du temps), le scénario ne permet guère d’être plus enjoués tant les enjeux de l’histoire et les contours des personnages ne sont pas clairement établis, nous laissant errer en vain à la recherche de précisions. Le film en pâtit, accumulant des scènes qui semblent détachées de l’intrigue.
Toutes les critiques de Mineurs 27
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Mineurs 27 est bancal, mais à voir.
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Un thriller qui sait tenir la pause, mais avec un sens aigu du suspense. Une curiosité à découvrir.
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Entre un sous-"37°2 le matin" et une pub pour Yop, la première moitié du film effleure le mal-être de deux ados du sud de la France, séduits par la même fille (la très en formes Marie-Ange Casta, sœur de Laetitia) et victimes d’une vieille affaire de pédophilie dont un flic ripou (Jean-Hugues Anglade avec la tête de Francis Heaulme !) tente, dans la seconde moitié, d’empêcher la divulgation. Tristan Aurouet (coréalisateur de "Narco"), lui, est plus occupé à nous faire croire qu’il a du style qu’à se frotter aux enjeux de son histoire et signe un navet chichiteux et creux.
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A cause d’une construction scénaristique extrêmement floue provoquant vite l’ennui et d’une réalisation caméra au poing qui multiplie des gros plans fatigants, ce thriller ne fonctionne pas.
