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Un faune désigné gardien de la Lune, un colosse de feu maître du Soleil et une créature de cire s’allient pour empêcher Necross de plonger le monde dans les ténèbres... Situé dans un univers post-"Avatar" chamarré, le nouveau film de la société de production On Entertainment (le Pixar français, à qui l’on doit "Le Petit Prince") brille par son audace. À la direction artistique inventive répondent un design original des personnages et une poésie certaine – formidable idée de l’héroïne en cire qui se fige la nuit et fond au soleil. Dommage que le scénario, ultraconvenu, ne se hisse pas au niveau des enjeux esthétiques.
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Un faune désigné gardien de la Lune, un colosse de feu maître du Soleil et une créature de cire s’allient pour empêcher Necross de plonger le monde dans les ténèbres... Situé dans un univers post-"Avatar" chamarré, le nouveau film de la société de production On Entertainment (le Pixar français, à qui l’on doit "Le Petit Prince") brille par son audace. À la direction artistique inventive répondent un design original des personnages et une poésie certaine – formidable idée de l’héroïne en cire qui se fige la nuit et fond au soleil. Dommage que le scénario, ultraconvenu, ne se hisse pas au niveau des enjeux esthétiques.
Toutes les critiques de Mune, le gardien de la Lune
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Malgré des intentions scénaristiques on ne peut plus classiques, "Mune" et ses personnages attachants, immergés dans un patchwork de couleurs splendides, va courtiser l’imaginaire des enfants en définissant les contours d’une belle ode à la responsabilisation emplie d’espoir et d’émotions.
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Malgré des intentions scénaristiques on ne peut plus classiques, Mune et ses personnages attachants, immergés dans un patchwork de couleurs splendides, va courtiser l’imaginaire des enfants en définissant les contours d’une belle ode à la responsabilisation emplie d’espoir et d’émotions.
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Tour à tour ludique et angoissant, épique et intime. En un mot : féerique.
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Tout, dans ce film d'animation féerique et diablement efficace, marche par deux : l'association d'un petit nouveau (Benoît Philippon) et d'un pro (Alexandre Heboyan). Le Soleil qui a rendez-vous avec la Lune. Et le couple de héros : un faune au bleu Luc Besson et une demoiselle en cire à la Tim Burton.
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Tout, dans ce film d'animation féerique et diablement efficace, marche par deux : l'association d'un petit nouveau (Benoît Philippon) et d'un pro (Alexandre Heboyan). Le Soleil qui a rendez-vous avec la Lune. Et le couple de héros : un faune au bleu Luc Besson et une demoiselle en cire à la Tim Burton.
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Comme la plupart des contes, Mune traite des questions de bien et de mal, de l’amour, de la mort, de façon symbolique et poétique et avec humour (...) En incarnant les successions des jours et des nuits dans deux gardiens aussi opposés que complémentaires, le réalisateur de Lullaby for Pi a trouvé son sujet.
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Comme la plupart des contes, Mune traite des questions de bien et de mal, de l’amour, de la mort, de façon symbolique et poétique et avec humour (...) En incarnant les successions des jours et des nuits dans deux gardiens aussi opposés que complémentaires, le réalisateur de Lullaby for Pi a trouvé son sujet.
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Tour à tour ludique et angoissant, épique et intime. En un mot : féerique.
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Si le plaisir de découvrir ces contrées fantastiques est indéniable, le récit n’emprunte que partiellement la structure du conte (le parcours initiatique du trio jusqu’à un poignant final), s’enlisant dans des concepts quelque peu hermétiques. Trop pointu pour les enfants et trop féerique pour les pré-adolescents, Mune rate sa cible, non sans panache.
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Si le plaisir de découvrir ces contrées fantastiques est indéniable, le récit n’emprunte que partiellement la structure du conte (le parcours initiatique du trio jusqu’à un poignant final), s’enlisant dans des concepts quelque peu hermétiques. Trop pointu pour les enfants et trop féerique pour les pré-adolescents, Mune rate sa cible, non sans panache.