Date de sortie 25 décembre 2024
Durée 90 mn
Réalisé par Hiroshi Okuyama
Avec Sosuke Ikematsu ,
Scénariste(s) Hiroshi Okuyama
Distributeur Art House Films
Année de production 2024
Pays de production Japon, France
Genre Drame

Synopsis

Sur l’île d’Hokkaido, l’hiver est la saison du hockey pour les garçons. Takuya, lui, est davantage subjugué par Sakura, tout juste arrivée de Tokyo, qui répète des enchaînements de patinage artistique. Il tente maladroitement de l’imiter si bien que le coach de Sakura, touché par ses efforts, décide de les entrainer en duo en vue d’une compétition prochaine… À mesure que l’hiver avance, une harmonie s’installe entre eux malgré leurs différences. Mais les premières neiges fondent et le printemps arrive, inéluctable.

Ce film est présenté en sélection Un Certain Regard au Festival de Cannes 2024.

Infos de la rédaction sur My Sunshine

Sur l’île d’Hokkaido, l’hiver est la saison du hockey pour les garçons. Takuya, lui, est davantage subjugué par Sakura, tout juste arrivée de Tokyo, qui répète des enchaînements de patinage artistique. Il tente maladroitement de l’imiter si bien que le coach de Sakura, touché par ses efforts, décide de les entrainer en duo en vue d’une compétition prochaine… À mesure que l’hiver avance, une harmonie s’installe entre eux malgré leurs différences. Mais les premières neiges fondent et le printemps arrive, inéluctable.

Ce film est présenté en sélection Un Certain Regard au Festival de Cannes 2024.

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Critiques de My Sunshine

  1. Première
    par Damien Leblanc

    Cinéaste précoce remarqué en 2019 avec son premier long métrage Jésus, Hiroshi Okuyama réussit du haut de ses 28 ans un deuxième film encore plus abouti qui transforme ses souvenirs d’enfance en un vibrant mélo enneigé. Situé sur l’île japonaise d’Hokkaidō, My Sunshine suit un jeune garçon qui délaisse le hockey sur glace et se passionne pour le patinage artistique après avoir été émerveillé par les mouvements d’une jeune patineuse. Un coach dévoué choisit alors d’entraîner les deux enfants ensemble malgré les préjugés de genre, manière pour ce tendre conte hivernal d’éviter les clichés des récits sportifs basés sur la souffrance physique. Tout s’appuie au contraire ici sur la quête de l’harmonie, les trois personnages bravant leur timidité au sein d’une lumière cotonneuse. Okuyama, qui signe aussi la photo et le montage, capte ainsi superbement la fugacité d’une parenthèse dont chacun sortira métamorphosé.