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Zur tisse, autour de ces personnages opposés, une toile complexe dans laquelle chacun peut, émotionnellement ou judiciairement, se retrouve pris au piège. L'habile dénouement a le mérite de clore un chapitre et d'en ouvrir un autre.
Toutes les critiques de Naomi, une jeune et belle épouse...
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Un thriller « sentimental » impeccable, constamment sur le fil entre tragédie et comédie. Avec des comédiens excellents.
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Faute d’être excitante, cette œuvre n’en reste pas moins regardable.
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Très sobre, découpé en courtes séquences limpides et pudiques, ce premier film, superbement interprété, dominé par Yossi Pollack, l'époux tourmenté, offre un portrait inédit et juste de la bourgeoisie israélienne.
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Une œuvre policière et dramatique, sur fond de jalousie. Ce premier long-métrage d’Eitan Zur à la dramaturgie maîtrisée est assurément à découvrir.
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Un premier long prometteur sur les mensonges dans un couple
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Un éminent professeur d’université proche de la soixantaine assassine l’amant de sa femme, "une jeune et belle épouse", comme le rappelle le titre. Le cadre d’Haïfa ne change rien à l’atmosphère simeno-chabrolienne tissée par ce petit polar à la mécanique psychologique bien huilée – la tension repose essentiellement sur la culpabilité qui hante le mari jaloux et son angoisse de se faire pincer. On peut toutefois le regretter tant le scénario entrouvre une multitude de pistes (de l’érotisme de Naomi à l’inquiétant pragmatisme de sa belle-mère, complice du crime), que la mise en scène, un peu frileuse, se contente d’effleurer.