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Un PDG perd la raison. Sa vie se mêle alors à des légendes japonaises. Fidèle à l’approche semi-documentaire qui sous-tendait déjà Noor, le duo de cinéastes s’immerge dans le Japon contemporain pour offrir une fable humaniste ("Ningen" signifie "l’humain" en japonais) évoquant l’amour perdu. Dommage toutefois que la réalisation s’avère moins fantasque que les personnages.
Toutes les critiques de Ningen
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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"Ningen" fait preuve d’une véritable intelligence sensible : par touches et avec un sens accru du détail sonore, le film de Guillaume Giovanetti et de Çağla Zencirci confirme déjà tout le bien qu’on pensait d’eux depuis "Noor".
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Croisant ces deux histoires dans une mosaïque visuelle et narrative étonnante, Çagla Zencirci et Guillaume Giovanetti continuent, après "Noor", de nous ouvrir les portes du monde unique et poétique qui est le leur.
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Comme déjà dans "Noor", il y a évidemment un aspect documentaire dans ce cinéma-là, mais les réalisateurs vont plus loin encore : la réalité, des acteurs ou des lieux, ils la prolongent et la surpassent.
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Un récit mystique et déroutant sur le burn-out d'un patron.
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La partie finale, aux frontières du surnaturel, peuplées de saisissantes visions de l'au-delà, surpasse aisément les deux premières, d'un réalisme convenu.
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Ce fourre-tout narratif reprend le conte japonais "Le Renard et le raton laveur" pour malmener le spectateur à grands coups de poésie lourdement servie. Un film hybride sans réelle grâce