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Johnny Depp mène le film à un rythme endiablé et trouve à qui parler en la personne d’une Penélope Cruz en pétroleuse de charme. Plus écrit que le troisième volet, ce quatrième opus se révèle un solide divertissement bourré d’humour et de cascades.
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Humour, coups fourrés, sirène et zombies sont à bord de cette épopée boucanière palpitante. Et ce quatrième Pirates est une vraie cure de Jouvence pour la saga : de la 3D, du sans neuf, plus de réalisme et moins d’images de synthèse.
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Le grand tourbillon ininterrompu de scènes spectaculaires se regarde désormais lunettes sur le nez, mais l'impression est la même : celle d'être dans un train fantôme lancé à toute vitesse.
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L’intrigue n’offre plus guère d’enjeux ni de rebondissements. (...) Les combats ressemblent plus à des numéros de danse chorégraphiés qu’à des affrontements violents. Johnny Depp fait sombrer son personnage dans la caricature.
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Comme chaque année, un pur blockbuster est présenté à Cannes. Le réalisateur de Chicago est ici le tâcheron aux commandes d’un produit sans âme, vainement réanimé par une inutile 3D. Johnny Depp assure le minimum syndical et Penélope Cruz, sublime chez Almodovar et Allen, est aussi convaincante que Gina Lollobrigida dans ses incursions hollywoodiennes. On louera toutefois une efficace attaque de sirènes et un Geoffrey Rush irrésistible comme à son habitude.
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- Pirates des Caraïbes : la fontaine de jouvence
Pirates des Caraïbes : la fontaine de jouvence
Pressse
(5 critiques)