-
On a beau ne rien comprendre aux magouilles de ce caïd des paris en ligne, on se laisse prendre à la valse des billets verts et à l'imagerie couleur locale du Costa Rica. Au final, ces players nous bluffent !
-
Entre truands et FBI, qui va manipuler qui ? Sur un sujet archi-rebattu – le plus malin n’est pas celui que l’on croit – Hollywood joue la carte du professionnalisme. Sans surprise mais avec un bon sens du tempo et un atout charme, Gemma Arterton.
-
Un vrai-faux remake de “Wall Street” dans le milieu des paris en ligne : bling et convenu.
-
« Players » : pas flamboyant, mais plaisant, le film vaut surtout par l’ambiguïté du jeu du chanteur Justin Timberlake et la sensualité torride de la belle Gemma Aterton.
-
Polar plaisant de Brad Furman,mais sans excès d'originalité. Dans le rôle du méchant, Ben Affleck ne fait pas violence à son talent.
-
Un thriller exotique efficace vaut plus pour l’interprétation des comédiens que pour son intrigue assez banale
-
Une intrigante histoire de crime, superficielle et pas vraiment marquante.
-
Le casting est exceptionnel mais le scénario révèle l’histoire trop rapidement, il n’y a ni surprises, ni suspense sur la dernière partie.
-
Une histoire de rédemption et d'arnaque, avec dans le rôle du playboy ruiné par la crise, Justin Timberlake et dans celui de la séductrice, Gemma Arterton. Hors champ, il y a aussi Ben Affleck en génie du mal financier, mais tout ça ne suffit pas donner vie à ce film paresseux.
-
par Jordan Kalfon
Toutes les critiques de Players
Les critiques de la Presse
Un casting haut-de-gamme et un réalisateur ayant récemment démontré un réel talent avec La défense Lincoln, Players a pourtant tout du produit formaté vite vu, vite oublié. Un film pas forcément désagréable (quoique) mais foncièrement inutile.
Malgré son casting dément, « Players » s’ajoute à la longue liste des thrillers dénués de charme.
On oublie déjà la moitié du film avant même que les crédits de fin n’arrivent.
« Players » démarre avec une base solide pour s’écrouler ensuite.
On avait été frappé par l’amoralité du personnage principal de Limitless, héraut d’une époque avide de succès facile et sans scrupules. De ce point de vue, Players et ses protagonistes enterrent le film de Neil Burger. Mais est-ce tout ce qu’il y a à dire sur le film ? Hélas, oui, tant le film de Brad Furman n’existe que par son culte d’une vilenie de bas étage, au mépris de tout développement de personnage, de toute originalité narrative, de toute identité formelle. En somme, un film de médiocres.