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Si Milla Jovovich, dans le rôle d'Alice, sorte de Musidora des temps modernes, est une fois de plus impressionnante voire excitante, le reste manque singulièrement d'idées.
Les séquences se suivent sans justification, les personnages, réduits à des silhouettes caricaturales, apparaissent et disparaissent sans émouvoir le spectateur.
La platitude (malgré la 3D !) de ce quatrième volet ne permet pas l'indulgence avec laquelle on pouvait considérer les trois précédents. -
Ceux qui espèrent donc que la franchise va enfin rendre justice à l'ambiance high tech délétère et roborative des jeux vont vite comprendre leur malheur dès le premier des nombreux "bullet time" qui émaillent les scènes d'action du film. Et dire que c'était déjà ringard dans le premier Resident Evil... qui date de 2002 !
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- Resident Evil : Afterlife
Resident Evil : Afterlife
Pressse
(2 critiques)