Sabotage

La version moderne d’un western populaire.

un thriller d’action époustouflant.

Sabotage est captivant mais il reste trop longtemps sur ses acquis.

Le genre de film que l’on peut voir devant la TV chez soi vers minuit, lorsque vos yeux se ferment à moitié et que votre cerveau est déjà éteint.

Une mixture affreuse, abrasive dénuée de charme.

Une direction étrange, plutôt vilaine, il faut y aller sans s’attendre à être convaincu.

Sabotage est un exercice abrasif pour les mysogines.

Sanglant, banal, un film qui fanfaronne beaucoup, un casting de renom qui sera effacé du CV des acteurs très rapidement.

Un film dirigé avec style mais dénué de sens, avant tout une brouette de corps inanimés.

C’est bizarre de dire qu’un film avec Arnold Schwarzenegger est mou mais c’est le cas de Sabotage.

David Ayer signe un thriller musclé, qui peine à trouver un ton juste en se perdant dans sa galerie de personnages.

Avec "Sabotage" (...) Ayer s'égare et signe un film esthétiquement flottant, foutraque, autour d'un magot dérobé à un puissant cartel de drogue et dont la disparition justifie l'avancée laborieuse du récit.

Evidemment le film ne fait ni dans la dentelle ni dans l’intellectuel. En même temps en voyant Schwarzie sur l’affiche, vous savez sur quel chemin vous vous engagez…

Contrairement à Stallone le cabossé, plus sérieux et plus désespéré, les films Schwarzy sont bi-goût depuis toujours (biscoteaux/lol), et la recette que propose ici David Ayer (toute savoureuse qu’elle soit) sent un peu le vieux chewing-gum. Ne reste alors à Sabotage que le vague effet madeleine, qui, au mieux, invite à retrouver ses VHS de True Lies ou de Last Action Hero.

Une version peu recommandable et repoussante d’Expendables.

Cynique, bâclé, une perte de temps.