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Absence de musique, économie de dialogues, réalisme froid...Kobayaski filme cette agression sociale au scalpel. Et dénonce une lâcheté nippone dont il suggére, au passage, qu'elle s'exerce volontiers à l'égard d'autres minorités.
Absence de musique, économie de dialogues, réalisme froid...Kobayaski filme cette agression sociale au scalpel. Et dénonce une lâcheté nippone dont il suggére, au passage, qu'elle s'exerce volontiers à l'égard d'autres minorités.