Toutes les critiques de Le Voyage de Lucia

Les critiques de Première

  1. Première
    par Pamela Pianezza

    Ce film délicat, porté par deux belles actrices ne parvient jamais à créer la surprise. L'overdose de symboles (...) donne à ce voyage une destination bien conformiste

Les critiques de la Presse

  1. Nouvel Obs
    par Xavier Leherpeur

    la petite mélodie de ce film finit par séduire, en particulier grâce à l’interprétation délicate et nuancée de ses deux comédiennes.

  2. Le Figaro
    par Jean-Luc Wachthausen

    Une quadra dépressive et une jeunette délurée vivent un amour improbable. Malgré de beaux moments, leur histoire s’enlise très vite.

  3. Télérama
    par Guillemette Odicino

    Stefano Pasetto prétend s'inspirer de la nouvelle vague, mais, devant ce mélo féministe lourd de symbole, on glisse, indifférent.

  4. A voir à lire
    par Virgile Dumez

    Portrait de deux femmes en crise, Le voyage de Lucia séduit par la puissance de ses interprètes et par la rigueur de sa réalisation. L’ensemble n’est toutefois pas totalement abouti.

  5. Nouvel Obs
    par Guillaume Loison

    En Argentine, une épouse de médecin patraque croise une femme libre comme l’air et délurée comme tout – la preuve, elle a des tatouages et les cheveux mauves. En résulte une escapade en Patagonie entre fugue et thérapie par le voyage, qui, sous ses allures de film carpe diem, s’embourbe dans une myriade de clichés psychologisants et de symboles éléphantesques. Plus déplaisant encore, le cynisme avec lequel le cinéaste torture le destin de ses personnages, dans le simple but de faire pleurer dans les chaumières.

  6. Libération
    par Eric Loret

    On s’en fout. Pas de leur bonheur ou de leur malheur, mais de leur bonheur et de leur malheur vu comme ça.

  7. Le Monde
    par Thomas Sotinel

    L'itinéraire du film est (…) fixé au gré de la fantaisie arbitraire du metteur en scène et scénariste. Celui-ci convoque les grandes inquiétudes modernes (la filiation, le cancer), infléchit l'orientation sexuelle de ses personnages quand bon lui semble et se repose sur ses comédiennes (qui ne déméritent pas) pour donner un semblant de vraisemblance à cette balade.

  8. Les Inrocks
    par Vincent Ostria

    Oeuvre mélancolique sur la relation de deux italiennes que tout sépare. Une aventure homosexuelle qui manque de chair et d'enjeu.