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(...) Sans identité est plutôt au-dessus de la moyenne : débarrassé de sous-entendus idéologiquement douteux, le film lorgne du côté du thriller hitchcockien façon La mort aux trousses. Les invraisemblances atteignent des degrés stratosphériques, mais elles sont racontées avec assez de roublardise pour qu'il soit impossible de deviner ce qui va suivre et assez d'énergie pour vous embarquer jusqu'à la fin.
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Commençant comme un habile thriller hitchcockien dans le Berlin contemporain, Sans identité rentre peu à peu dans le rang en cédant à trop de facilités. Conçu comme un grand projet international, le quatrième long métrage de l'espagnol Jaume Collet-Serra finit sur une note amère.
Toutes les critiques de Sans identité
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Durant près de 2h, le film nous mène par le bout du nez (...) le suspens ne faiblit que rarement,(...) du bon cinéma du samedi soir. Un thriller amnésique efficace, dont la résolution finale ne peut pas... s'oublier.
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Construit autour d’une intrigue kafkaïenne joliment dosée en suspense, ce thriller possède de solides arguments : une réalisation nerveuse au tempo millimétré, quelques scènes musclées pour l’adrénaline et une interprétation de choix. Liam Neeson et Diane Kruger forment un tandem de fugitifs hitchockiens de premier ordre
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On ne s'ennui pas un seul instant devant ces 110 minutes d'action pure et dure, même si on ressort de la projection un peu navrés par un manque cruel d'origialité. Sans identité ? Voilà finalement un titre on ne peut mieux trouvé...
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Ce film est bluffant. En dépit d’un scénario chargé jusqu’à la gueule, le spectateur se demande en permanence par quel miracle cette affaire va retomber sur ses pattes. Ne manquez pas la première scène, particulièrement spectaculaire…
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Tel que l'a réalisé l'Espagnol Jaume Collet-Serra, Sans identité se place résolument dans la catégorie des films dont chaque personnage se transforme en champion Nascar dès qu'il prend le volant.
Le temps passé à transformer les rues de la capitale fédérale en circuit automobile a manqué à l'élaboration des personnages, de l'ambiance. On se contentera donc d'une lumière hivernale dans laquelle se meuvent des silhouettes invraisemblables.
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Sur le motif hitchcockien de l’homme ordinaire pris dans la tourmente d’une histoire extraordinaire, l’Espagnol Jaume Collet-Serra, jusqu’ici abonné aux films d’horreur ("Esther", "la Maison de cire"), tresse une série B ludique et un peu vaine. Le jeu consiste à essayer de deviner par quel miracle un scientifique en voyage d’affaires à Berlin (Liam Neeson) peut sortir d’un accident de voiture et d’un coma pour découvrir que personne ne le reconnaît, à commencer par sa femme (January Jones). Pas désagréable, d’autant que l’affaire est plutôt bien filmée.
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Ce thriller d'espionnage sans intérêt mélange les thématiques amnésiques de Jason Bourne à l'esthétique vulgaire des films d'actin façon le Transporteur. Vu et revu.