L'héroïne de Joy est un vrai boulet.
Dans Joy, le nouveau film de David O. Russell qui sort aujourd'hui sur les écrans, Jennifer Lawrence campe une jeune mère célibataire qui devient multimillionaire en inventant un balai à vapeur. Une self-made-woman, parfaite illustration du rêve américain, et un rôle qui va comme un gant à l'actrice de 25 ans.
L'actrice fétiche de David O. Russell, qui l'a déjà dirigée dans Happiness Therapy (pour lequel elle a eu un Oscar) et American Bluff, a tout de la fille simple qui a réussi presque par hasard. Malgré sa prestigieuse statuette dorée, son contrat d'égérie Dior, ses looks glamour et son statut de superstar, J-Law est une vraie Madame-tout-le-monde. Une image sympa et accessible qu’elle cultive à grands renforts d’autodérision et de déclarations chocs.
Retour sur 7 maladresses les plus mémorables de Jennifer Lawrence.
Les gamelles
Jennifer Lawrence a tendance à se prendre les pieds dans le tapis, au sens strict du terme. L’actrice a trébuché ou chuté à plusieurs reprises sur le red carpet mais sa gamelle la plus mémorable reste celle des Oscars 2013, lorsque, toute guillerette à l’idée d’aller chercher son prix, l’actrice s’est vautrée dans les escaliers.
L’interview ivre chez Jimmy Kimmel
Après avoir confié à Jimmy Kimmel qu’elle était pompette car elle avait enquillé quelques shots de tequila pour se détendre avant d’arriver sur le plateau, la jeune femme de 22 ans à l’époque s’est mise à deviser à propos de ses seins asymétriques.
Les photobombs
Jennifer Lawrence adore s’incruster sur les photos des autres. Sarah Jessica Parker et Taylor Swift en ont déjà fait les frais.
La rencontre avec Jack Nicholson
Interrompue par Jack Nicholson alors qu’elle donnait une interview après son sacre aux Oscars 2013, la jeune femme a d’abord dit à son idole qu’il était malpoli. Avant de lui faire du rentre-dedans, ni plus, ni moins. Charmeur, l’inoubliable héros de Shining a affirmé à l’actrice qu’elle "ressemblait à une ex petite amie". Ce à quoi Jennifer Lawrence a naturellement répondu : "Oh, vraiment, et est-ce que je ressemble à une nouvelle petite amie ?"
Les Doritos
Dans une des scènes marquantes d’American Bluff, Jennifer Lawrence porte une longue robe ultra-moulante d’un blanc irisé, tape-à-l’œil et audacieuse. Michael Wilkinson, le costumier du film sorti en 2014, raconte que le péché mignon de la star - les Doritos bourrés de colorant orange qu’elle engloutissait à-même le paquet entre deux scènes - lui ont donné du fil à retordre. « Heureusement que nous avions plusieurs exemplaires de la robe, qui n’était pas chère », a-t-il confié à Vanity Fair.
L’hygiène douteuse
Par pure provocation, l’actrice a récemment affirmé qu’elle ne se lavait jamais les mains après avoir été aux toilettes, lors d’une interview potache avec ses partenaires de la saga Hunger Games sur MTV. Mauvaise idée. La citation de l’actrice a été reprise partout et Jennifer Lawrence s’est retrouvée étiquetée "grosse dégoûtante" et obligée de publier un démenti sur son compte Facebook.
Jennifer Lawrence assume son hygiène douteuse
Le Fappening
Difficile de ne pas citer le fameux piratage des smartphones de stars, en septembre 2014. Jennifer Lawrence a été une des plus durement touchées et plusieurs dizaines de clichés intimes - très, très intimes - de l’actrice, ont inondé la Toile. Voilà de quoi achever de démystifier la star, dont on a vraiment tout vu désormais.
La bande-annonce de Joy, de David O. Russell, avec Jennifer Lawrence - sortie le 30 décembre :
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