L'Arme fatale : 6 secrets sur la saga culte
Une saga surprise
L'Arme fatale aurait pu ne jamais connaître de suite. Dans la version initiale du scénario, le personnage incarné par <strong>Danny Glover</strong> devait prendre sa retraite et laisser ainsi son partenaire. Ce qui rendait difficile la possibilité de faire une suite. Le réalisateur a donc préféré faire une fin laissant la place à un deuxième opus en cas de succès.
Deux refus importants
Si <strong>Richard Donner</strong> a réalisé la saga, c'est une autre personnalité qui aurait dû mettre en images le premier volet du film. Ce projet a en effet été proposé avant tout à <strong>Leonard Nimoy</strong>, le célèbre Spock de la série Star Trek. Mais ce dernier, qui trouvait le film trop violent, a reporté son attention sur Trois hommes et un bébé. <strong>Mel Gibson</strong> n'était pas non plus le premier choix de la production. C'est <strong>Bruce Willis</strong> qui avait les faveurs des producteurs avant que ces derniers n'optent pour <strong>Mel Gibson</strong>.
Le clash Shane Black / Richard Donner
L'Arme fatale 2 a marqué le désengagement de <strong>Shane Black</strong> (scénariste du premier volet et en partie du deuxième) dans la saga. Ce dernier a quitté le navire lorsque <strong>Richard Donner</strong> a souhaité modifier le scénario du deuxième volet du film. Un long métrage dans lequel Martin Riggs devait mourir à la fin. Mais sentant le bon filon, le réalisateur a préféré garder en vie ce héros qu'il voyait comme une poule aux oeufs d'or. Et il a eu raison.
Merci Disney
Pour incarner Léo Getz, qui deviendra un personnage culte, <strong>Joe Pesci </strong>s'est inspiré d'une de ses visites à Disneyworld. C'est de là qu'est venue sa réplique culte 'ok, ok, ok", un mot que les employés utilisaient régulièrement. Le comédien a choisi de gommer également certains traits du caractère de son personnage, notamment son côté efféminé.
Le clin d'oeil à Mad Max 2 - Road Warrior
Dans L'Arme fatale 3, plusieurs références sont glissées en référence à Mad Max 2 de <strong>George Miller</strong>. Alors que <strong>Mel Gibson</strong> mange de la pâtée pour chiens dans ce film, il avale des gâteaux pour chiens dans <em>L'Arme fatale 3.</em> La réplique : <em>"I'm a Road Warrior</em>" est également lancée dans une des courses poursuites du film de <strong>Richard Donner</strong>.
La poule aux oeufs d'or pour Mel Gibson
Après le succès des trois premiers volets, <strong>Danny Glover</strong> et <strong>Mel Gibson</strong> ont hésité à reprendre du service. Le premier trouvait ainsi que la qualité des scénarios diminuait au fil des films. <strong>Mel Gibson</strong>, qui a été très difficile à convaincre pour le quatrième opus, a de son côté reçu une belle somme d'argent pour reprendre du service : près de 40 millions de dollars.
On plonge dans le carton à souvenirs à l'occasion de la diffusion ce soir de L'Arme Fatale 3 à 20h50 sur TMC.4 films, des centaines de millions de dollars engrangés, près de 10 millions de spectateurs au total dans les salles françaises et un duo devenu culte. C'est le bilan explosif de la saga L'Arme fatale rassemblant quatre films réalisés par Richard Donner sortis respectivement en 1987, en 1989, en 1992 et en 1998.Ce soir à 20h50, c'est L'Arme fatale 3 qui est à l'honneur sur TMC. Un film dans lequel Mel Gibson et son complice Danny Glover font encore des merveilles pour une plongée dans un trafic d'armes des plus machiavéliques aux côtés du succulent Joe Pesci et de la superbe Rene Russo.Avant de retrouver ce troisième volet des aventures du duo Martin Riggs/Roger Murtaugh, voici 6 choses méconnues sur cette saga culte.
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