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Entrecoupé d’archives, de témoignages et d’allusions aux attentats du 7 janvier, ce lumineux documentaire sur l’écrivain et satiriste François Cavanna (créateur de "Hara-Kiri" et de "Charlie Hebdo", disparu en janvier 2014) évoque la mort pour lier puissamment amour de la vie, audace de la littérature et liberté de la presse.
Toutes les critiques de Cavanna, Jusqu'à l'ultime Seconde j'écrirai (Documentaire)
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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La forme du film n'invente rien, mais Cavanna est bien là, épuisé, combatif, malicieux, incapable de s'arrêter d'écrire. Les images restent.
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Soutenu par une impertinente drôlerie, ce portrait nous fait valdinguer du rire aux larmes.
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Ce film est comme un autel intime qui perpétue d’une autre manière que les livres, non seulement le souvenir, mais la vie même de cet homme d’exception.
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Un documentaire qui fait le tour de l'homme et de la question.
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Un hommage vibrant à ce grand homme de lettres au parcours atypique et, en filigrane, aux fondations de l’esprit Charlie.
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On n’a évidemment rien contre ce maître de l’esprit frondeur mais le film est justement trop révérencieux.
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Si la forme du film laisse parfois à désirer (...) le spectateur se laisse prendre au jeu et mise sa liberté carte sur table avec Siné, Delfeil de Ton, Wilem et Sylvie Caster. Même mort, Cavanna n’a rien perdu de sa superbe.
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Plus un hommage qu’un portrait, ce documentaire dit l’intelligence, l’insolence et la malice du père des "Ritals", créateur d’"Hara Kiri" et de "Charlie Hebdo", qui n’a jamais posé sa plume.
