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Dans la peau de grimpeurs, des acteurs qu’on adore (John Hawkes, Jake Gyllenhaal, Josh Brolin) gravissent l’Everest. Ils sont là pour des raisons personnelles, voire spirituelles. Mais la plupart mourront sans qu’on ne soit entré dans le vif du sujet. Kormákur élude le drame humain qui se joue au téléphone entre les condamnés et leurs femmes restées à la maison pour se focaliser sur la montagne. Cette montagne dont on ne cesse de nous répéter qu’elle est un monstre personnifié. En réalité, un vulgaire arrière-plan pour dérouler les minutes du fait divers dont s’inspire le film. Qu’est-ce qui reste ? Des acteurs barbus qui meurent congelés sur un bout de plateau surchauffé.
Toutes les critiques de Everest
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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"Everest" est une expérience vraiment spectaculaire qui mérite d'être vue à la plus grand échelle possible.
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Avec son postulat central périlleux et sa galerie de personnages, dont certains n'arriveront pas à s'en sortir, on pourrait dire qu'"Everest" est un film catastrophe dans le vieux sens hollywoodien du terme. Mais il ne ressemble pas à ça, et c'est une bonne chose.
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Comme la montagne dont il porte le nom, "Everest" est solide comme un roc. Il est grand, beau, terrifiant et sans pitié avec ses personnages et les spectateurs.
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Un "homme vs nature" épique et plus réaliste que d'autres.
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Contrairement aux nombreuses autres histoires de catastrophes en montagne, Everest est le type de film qui ne vous donne plus envie de regarder une montagne.
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Une aventure en 3D IMAX, visuellement étourdissante, qui va vous couper le souffle. Le drame personnel qu'elle renferme, beaucoup moins.
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Un film sur la survie, porté par des acteurs exceptionnels, pour amateurs de sensations fortes.
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Malgré l’ampleur du projet, la sobriété domine le récit et le jeu des comédiens, qui ont mis leur super-virilité au service d’un film catastrophe absolument poignant.
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Everest est une expérience vraiment spectaculaire qui mérite d'être vue à la plus grand échelle possible.
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Avec son postulat central périlleux et sa galerie de personnages, dont certains n'arriveront pas à s'en sortir, on pourrait dire qu'Everest est un film catastrophe dans le vieux sens hollywoodien du terme. Mais il ne ressemble pas à ça, et c'est une bonne chose.
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La splendeur des prises de vue alliée à l’intensité de l’aventure humaine donne à réfléchir sur ce qui pousse les aventuriers à risquer leur vie pour de nouveaux frissons.
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Comme la montagne dont il porte le nom, Everest est solide comme un roc. Il est grand, beau, terrifiant et sans pitié avec ses personnages et les spectateurs.
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Un "homme vs nature" épique et plus réaliste que d'autres.
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Une aventure en 3D IMAX, visuellement étourdissante, qui va vous couper le souffle. Le drame personnel qu'elle renferme, beaucoup moins.
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Malgré l’ampleur du projet, la sobriété domine le récit et le jeu des comédiens, qui ont mis leur super-virilité au service d’un film catastrophe absolument poignant.
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La splendeur des prises de vue alliée à l’intensité de l’aventure humaine donne à réfléchir sur ce qui pousse les aventuriers à risquer leur vie pour de nouveaux frissons.
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Contrairement aux nombreuses autres histoires de catastrophes en montagne, "Everest" est le type de film qui ne vous donne plus envie de regarder une montagne.
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Un film sur la survie, porté par des acteurs exceptionnels, pour amateurs de sensations fortes.
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"Everest" est plus aimable qu’exaltant, mais conserve un goût de l’aventure séduisant, à défaut d’avoir le goût du risque de ces héros.
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Everest, pour résumer, souffre du même problème que la montagne : le surpeuplement.
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La 3D IMAX marche bien mieux pour les yaks que pour les hommes.
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(...) tout cela est mis en scène de manière très physique, efficace, spectaculaire. On en sort plutôt conquis, grâce à cette alliance de réalisme et de suspense.
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Comme toute reconstitution trop collée à son récit (en l’occurrence celui d’un journaliste rescapé de l’accident), Everest se condamne à n’être qu’un pâle décalque du réel, forçant les effets mélodramatiques pour compenser la faiblesse intrinsèque de ses personnages.
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Avec ses flocons qui viennent fouetter les visages, ses crevasses insondables qu’il faut franchir sur de frêles échelles, les plans en 3D produisent leur effet. Mais nul étourdissement métaphysique ne naît de ce vertige, qui reste purement physique.
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3D inutile qui transforme les monastères bouddhistes en maquettes cartonnées, son expressionniste terrifiant qui fait vibrer les vis des fauteuils, buée reconstituée et casting de stars (Jake Gyllenhaal, Josh Brolin, Keira Knightley…) pour accompagner ce bric-à-brac d’effets pimpants vers de très relatifs sommets.
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Un film qui interroge sur l’ambition des hommes et le défi lancé à la nature hostile.
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(...) tout cela est mis en scène de manière très physique, efficace, spectaculaire. On en sort plutôt conquis, grâce à cette alliance de réalisme et de suspense.
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"Everest" est plus aimable qu’exaltant, mais conserve un goût de l’aventure séduisant, à défaut d’avoir le goût du risque de ces héros.
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Comme toute reconstitution trop collée à son récit (en l’occurrence celui d’un journaliste rescapé de l’accident), Everest se condamne à n’être qu’un pâle décalque du réel, forçant les effets mélodramatiques pour compenser la faiblesse intrinsèque de ses personnages.
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C’est pourtant à l’arrivée un drôle de blockbuster qui se présente à nous, à la fois old-school (le film joue a minima l’éternel scénario d’une catastrophe naturelle) et potentiellement hybride dans son rapport à la 3D, seul véritable intérêt du film.
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Avec ses flocons qui viennent fouetter les visages, ses crevasses insondables qu’il faut franchir sur de frêles échelles, les plans en 3D produisent leur effet. Mais nul étourdissement métaphysique ne naît de ce vertige, qui reste purement physique.
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L’utilisation de la 3D permet au réalisateur islandais de multiplier les plans verticaux qui donnent le vertige et coupent le souffle.
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3D inutile qui transforme les monastères bouddhistes en maquettes cartonnées, son expressionniste terrifiant qui fait vibrer les vis des fauteuils, buée reconstituée et casting de stars (Jake Gyllenhaal, Josh Brolin, Keira Knightley…) pour accompagner ce bric-à-brac d’effets pimpants vers de très relatifs sommets.
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"Everest", pour résumer, souffre du même problème que la montagne : le surpeuplement.
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Un film qui interroge sur l’ambition des hommes et le défi lancé à la nature hostile.
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La 3D IMAX marche bien mieux pour les yaks que pour les hommes.
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Everest est plus aimable qu’exaltant, mais conserve un goût de l’aventure séduisant, à défaut d’avoir le goût du risque de ces héros.
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C’est pourtant à l’arrivée un drôle de blockbuster qui se présente à nous, à la fois old-school (le film joue a minima l’éternel scénario d’une catastrophe naturelle) et potentiellement hybride dans son rapport à la 3D, seul véritable intérêt du film.
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L’utilisation de la 3D permet au réalisateur islandais de multiplier les plans verticaux qui donnent le vertige et coupent le souffle.
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Tiré d'une histoire vraie, le film confond larmoyant et émouvant (...) l'absence de souffle dans les scènes d'action étonne. "Everest" n'est hélas qu'un sommet d'ennui.
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Si cette histoire, maintes fois contée, de courage et stupidité est vue comme un sommet à atteindre, le scénario non seulement n'arrive jamais au camp de base, mais en plus, il s'élève rarement au-dessus du niveau de la mer.
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Tiré d'une histoire vraie, le film confond larmoyant et émouvant (...) l'absence de souffle dans les scènes d'action étonne. Everest n'est hélas qu'un sommet d'ennui.
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Si cette histoire, maintes fois contée, de courage et stupidité est vue comme un sommet à atteindre, le scénario non seulement n'arrive jamais au camp de base, mais en plus, il s'élève rarement au-dessus du niveau de la mer.