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Après des débuts remarqués au cinéma (American Splendor, 2003), le couple Pulcini-Springer Berman est rentré dans le rang. Et ce n’est pas Imogene, portrait d’une trentenaire déphasée, qui va les remettre sur le devant de la scène indé, ce chick flick (film de filles) dépressif rappelant beaucoup trop Young Adult, sans l’ironie grinçante ni la rigueur du trait.
Les personnages secondaires (la mère et le frère, surtout) manquent de relief et de réalisme. Les phases humiliantes par lesquelles passe l’héroïne pour retrouver confiance et inspiration sont du copier-coller des films du genre. Et pourtant, on passe un moment plaisant grâce à l’énorme capital sympathie de Kristen Wiig, petite boule d’énergie. Sans oublier l’énième retour en force de Matt Dillon, hilarant en vrai-faux agent secret.
Toutes les critiques de Imogene
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Les réalisateurs Shari Springer Berman et Robert Pulcini signent avec "Imogene" une comédie drôle et légère.
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Imogene ne fait que confirmer le talent de Kristen Wiig, reine de la comédie américaine. Elle instaure une nouvelle fois son comique de loser au féminin, attachante et drôle comme jamais.
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On se laisse avoir par cette comédie drôle et acide, ou d’excellents comédiens sont visiblement heureux d’être là.
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Un feel-godd movie inégal, mais bien servi par son catsing.
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Si ce n'était pas Kristen Wiig, comique d'une bravoure sans égale, Imogene serait peut-être banale. Mais Imogene, c'est Kristen Wiig, et le film sort du rang.
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La sympathie spontanée qui inspire les comédiennes est pour beaucoup dans la réussite de cette comédie légère comme une bulle de savon.
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Une comédie douce-amère bien moins ravageuse mais plus tendre. En dépit d'un dénouement foutraque, ce film mérite un crochet sur la route des vacances, surtout pour les acteurs : outre Kristen Wiig.
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Le film vaut surtout pour Annette Bening, fabuleuse.
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Une comédie plaisante qui remplit le cahier des charges du divertissement estival. Pour la saison, on ne lui en demandera pas davantage.
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L'ex-star du Saturday Night Live réussit à sauver son personnage et à en faire une héroïne attachante et presque inattendue, celui d'une éternelle adolescente qui bien sûr se rapproche de son rôle de Mes meilleures amies mais qui se nourrit aussi d'un héritage télévisuel, dans un glissement savoureux de Gossip Girl à Freaks & Geeks. Pour elle et rien que pour elle, Imogène mérite (un peu) le détour.
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Kristen Wiig, comédienne et scénariste de «Mes meilleures amies» confirme son talent dans une histoire tendre et décalée.
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L’absurde côtoie donc le rire et l’émotion dans cette comédie qui, toutefois, peine à trouver le bon rythme.
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Cette comédie indépendante américaine met en scène une trentenaire en pleine crise existentielle, sans parvenir à renouveler le genre.
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Portrait d’une girl next door larguée, IMOGENE sort de l’anonymat grâce à ses acteurs et notamment la géniale Kristen Wiig.
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Kirsten Wiig revient dans une comédie en demi-teinte, pas toujours drôle, mais qui lui permet de montrer une autre facette de son talent.
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Kristen Wiig ne convainc pas dans cette pseudo-comédie célébrant les losers face aux snobs. En passant, il faut se fader des personnages pesants, comme le frangin gaga des crabes. La barque est chargée et les gags prennent l’eau. Naufrage assuré.
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Kristen Wiig (...) est, à ce qu’on dit, la femme la plus drôle du monde. Ce n’est pas avec cette comédie passe-partout qu’elle va nous en convaincre. Soit un mou mélange de "Garden State" et "Sex and The City".
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Kristen Wiig l’enfant prodige de la comédie américaine s’égare dans une comédie indépendante américaine qui ne tient pas ses promesses et apparaît plus comme un divertissement brouillon que comme un exercice de style.
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Interprété par Kristen Wiig, ce personnage de fille pas gâtée devrait pétiller. Mais la réalisation du duo Shari Springer Berman-Robert Pulcini est vraiment trop poussive.
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On peine à discerner ce que l'une des plus intécelantes actrices comiques actuelles est venue faire dans Imogene, (...) terne petite farce indé archi-formatée (...) Si le talent de Wiig y surnage vaguement malgré tout, cette histoire (...) tourne vite à la mélasse de loufoquerie sans charme.