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La Pecora nera ne verse jamais dans le pathos en évitant même de tomber dans la démonstration excessive : pas de folie outrancière ni de cris hystériques. (…) C’est un vol gracieux autour de coucous blessés, un état des lieux réaliste et poétique…
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Chaleureux et distant, fantasque et rigoureux (…) Un savoir lumineux, rarissime et profond est en effet au cœur du film. (…) Celestini s’impose ainsi facilement cette saison comme l’un des plus insolites (et menacés) spécimens de l’espèce cinéaste.
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Portrait d'un innocent, marginalisé et maltraité par la société, mais qui suit son chemin de poésie et de sainteté. Il y a quelque chose de russe, dans ce film italien étrange et mystique.
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Ce drôle de film est un drôle de truc, à la fois violent et plein d’espoir.
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Un film poétique et hirsute (...) porté par l'écriture empathique et le jeu bouleversant de l'acteur réalisateur.
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par Thomas Agnelli
Toutes les critiques de La Brebis galeuse
Les critiques de la Presse
Comme toujours dans ce genre de films, la confusion nait du point de vue et donc du rapport entre les sains d'esprit et les internés. Mais ici, l'intérêt se niche ailleurs , dans les amours imaginaires et la poésie illuminée du héros. Dommage que la mise en scène, trop théâtrale, ne donne pas plus de noblesse à cette vie flinguée.
C’est une petite perle d’écriture que nous offre l’acteur et dramaturge italien Ascanio Celestini avec son premier film, adapté de sa pièce.
Un one-man show narcissique et démago.