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Une Mexicaine démunie est sauvée par de doux dingues... Sans mise en scène, les clichés ne donnent pas du Almodóvar mais du Grand-Guignol.
Toutes les critiques de La Venta del Paraiso
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Une exilée mexicaine trouve refuge à Madrid au sein d'une communauté de marginaux. Une comédie qui exploite sans finesse l'imagerie de la misère.
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Emilio Ruiz Barrachina adapte son propre roman : l'histoire d'une jeune Mexicaine égarée à Madrid, qui trouve refuge dans une pension peuplée de marginaux. Guère intéressé par les désillusions de ses héros, le cinéaste s'égare entre fantaisie baroque (lourde) et fantastique de pacotille.
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Emilio Ruiz Barrachina s'essaie à l'absurde avec cette peinture surannée d'une petite communauté d'excentriques, sans convaincre.
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Cette comédie décalée tente de renouer avec le surréalisme d'un Luis Bunuel ou les excentricités d'un Almodovar période Movida, mais l'ensemble manque cruellement de folie pour convaincre pleinement.