Toutes les critiques de Tous les soleils

Les critiques de la Presse

  1. Le JDD
    par Carlos Gomez

    Un hommage plein de modestie mais convaincu, et finalement convaincant, au cinéma d'Ettore Scola et consorts, dont l'écrivain n'a pas à rougir. (...) Un film chaleureux qui tourne le dos au cynisme ambiant.

  2. Le Parisien
    par Hubert Lizé

    Sur ce thème en apparence tragique, Philippe Claudel signe une lumineuse comédie à l’italienne, en rendant hommage à ses maîtres. Dialogues ciselés, situations cocasses et justes, interprétation au diapason, Clotilde Courau formidable, on sort de cette comédie sur l’amour, l’amitié, la mort, vraiment très heureux.

  3. Télé 7 jours
    par Viviane PESCHEUX

    l’écrivain réalisateur Philippe Claudel signe une charmante comédie familiale, constellée de situations cocasses, avec Stefano Accorsi très juste en père déboussolé, entouré d’excellents acteurs.

  4. Le Figaro
    par Marie-Noëlle Tranchant

    Philippe Claudel signe une comédie sentimentale douce et tonique (...) la film atteint la grâce des plus belles comédies sentimentales.

  5. Le Monde
    par Jean-Luc Douin

    Tous les soleils aurait pu être une sympathique réussite si son auteur n'y gâchait ici et là son projet par une interprétation inégale (Anouk Aimée et Clotilde Courau irradient, d'autres prennent des intonations en moulinant les bras), une tendance à se servir du dialogue pour distiller des informations, et surtout un goût pour le mélo-bluette et le style Plus belle la vie

  6. Télérama
    par Guillemette Odicino

    Philippe Claudel rend un hommage modeste et enjoué à la comédie italienne , aux films de copain façon Yves Robert et à… la tarantelle, danse traditionnelle qui rythme ce sympathique feel good movie.

  7. Nouvel Obs
    par Lucie Calet

    Pour son troisième long-métrage, Philippe Claudel (« Il y a longtemps que je t’aime »), joue sur la corde sensible (films super-huit sur l’épouse d’Alessandro, présence de la mort à tous les étages, fantômes veillant sur un amour naissant). Si les seconds rôles ne déméritent pas et le sous-texte politique amuse, la guimauve, elle, finit par écœurer.