D'aussi loin qu'il se souvienne, D'Artagnan a toujours rêvé d'être un mousquetaire !
"Du Louvre au Palais de Buckingham, des bas-fonds de Paris au siège de La Rochelle…
Dans un Royaume divisé par les guerres de religion et menacé d’invasion par l’Angleterre, une poignée d’hommes et de femmes vont croiser leurs épées et lier leur destin à celui de la France."
Martin Bourboulon (Papa ou maman) nous ramène en 1627, en France, pour porter à l'écran l'oeuvre la plus célèbre d'Alexandre Dumas, Les Trois mousquetaires. Souvent adaptée, jamais égalée, cette histoire pleine de romance, d'action et d'aventure sera-t-elle enfin à la hauteur au cinéma ? En 4k et en Imax ? C'est en tout cas l'ambition de Dimitri Rassam, qui produit cette version tournée en langue française, mais avec un casting international, en deux parties : Les Trois mousquetaires - D'Artagnan sortira au cinéma le 5 avril 2023, puis le 13 décembre de la même année, ce sera au tour des Trois mousquetaires - Milady d'être proposé au public.
Comme promis, cette première bande-annonce suit donc D'Artagnan, joué par François Civil, qui découvre le monde des mousquetaires, à commencer par trois d'entre eux, les plus renommés : Vincent Cassel joue Athos, Romain Duris, Aramis et Pio Marmaï est Porthos. Tous les quatre, ils croiseront la route de Louis Garrel en Louis XIII, Vicky Krieps en Reine d'Autriche, Lyna Khoudri en Constance Bonacieux, et bien sûr de la terrible Milady, incarnée par Eva Green.
"Très vite on a une certitude : il faut deux films", nous confiait Matthieu Delaporte, son co-scénariste, en avril dernier, alors que Les Trois mousquetaires était en couverture de Première. Autre évidence, le film doit être en langue française. "Il ne faut pas oublier à quel point Cyrano de Bergerac a été un triomphe dans le monde entier, en dépit des alexandrins, car quelque chose dépassait la barrière de la langue", assure Dimitri Rassam. Et, enfin, il doit être tourné en France, explique le producteur : "On a tout. C’était aussi un choix assumé dès le départ de tourner entièrement ces films chez nous, sous peine de trahir l’esprit du projet : on ne peut pas célébrer le panache français et poser nos caméras à l’étranger !" Bourboulon explique aussi avoir pensé "ces deux films comme des westerns modernes", en respectant l’oeuvre de Dumas tout en posant "un regard contemporain sur ces personnages et ce récit". "On a la volonté de revenir à un cinéma populaire français qui a disparu", résume Vincent Cassel.
Première n°529, avec Les Trois mousquetaires en couverture, est à retrouver dans notre kiosque en ligne.
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