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Selena Gomez pour V Magazine : un shooting "pédopornographique" malsain ?

Selena Gomez

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Le shooting de Selena Gomez pour Vanity Fair fait scandale, rappelant des pubs douteuses des années 70

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Le shooting de Selena Gomez pour Vanity Fair fait scandale

Le shooting de Selena Gomez pour Vanity Fair fait scandale

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La dernière couverture de V Magazine, qui montre Selena Gomez topless et vêtue d'un minuscule short en jean qui semble avoir été peint sur elle tant il est moulant, fait déjà couler beaucoup d'encre.Si le magazine de mode est habitué aux couvertures sulfureuses et dénudées (il a notamment montré récemment FKA twigs, la compagne de Robert Pattinson, en string couleur chair), ce n'est ici pas le look de l'actrice qui fait débat, mais son apparence extrêmement juvénile.Bien qu'âgée de 22 ans, la starlette d'origine mexicaine a conservé un visage poupin d'ado pré-pubère et plusieurs sites reprochent au magazine d'avoir encore accentué son apparence enfantine pour en faire baby doll hypersexualisée. La version française de Vanity Fair dénonce une "hypersexualisation de l'enfant, entre son visage angélique et ses courbes de femme" et titre "Malaise - Selena Gomez, petite fille sexy". Outre-Atlantique, on s'insurge également à propos des clichés, que certains comparent à des portraits de mini-miss."C'est difficile pour moi d'écrire ça car je pense fermement que n'importe quelle femme a le droit de faire ce qu'elle veut de son corps, qu'il s'agisse de le couvrir de la tête aux pieds avec un niqab ou de poser topless en couverture de magazine. Ceci étant dit, il y a un problème avec les photos de Selena Gomez publiées aujourd'hui", écrit une journaliste du site RantLifestyle, qui affirme que la direction artistique de V Magazine est à blâmer pour "la sexualisation  hébéphile de son apparence pré-pubère, faisant de cette jeunesse son sex-appeal".Sur The Gloss, le rédacteur dit "se sentir légèrement mal à l'aise" en voyant ces photos qui lui "rappellent à quel point Selena Gomez paraît jeune."Fusion va plus loin en comparant ces clichés à de la "pédopornographie" dans une tribune titrée "Selena Gomez relookée pour ressembler à un coup à se retrouver en taule pour détournement de mineure". Le site constate que l'héroïne de Spring Breakers arbore "une expression innocente et un short provocant" et que son allure "rappelle beaucoup le fétichisme du porno pour les teens". Comme plusieurs autres sources, Fusion souligne le fait que James Franco (qui a fait scandale en proposant à une fan adolescente de coucher avec lui il y a quelques mois) conduise l'interview de Selena Gomez comme "encore plus malsain".